Une quinzaine de pompiers de sud sont mobilisés sur un feu à la décharge de Céron à Sainte-Luce. Les habitants des communes les plus proches sont incommodés par une épaisse fumée et des odeurs.
De la fumée et encore quelques flammes sont perceptibles au niveau du plateau sud du site de la décharge de Céron à Sainte-Luce.
Depuis vendredi soir (30 mars), les pompiers des casernes de Rivière-Salée et de Rivière-Pilote sont mobilisés sur cet incendie. "Nous avons travaillé toute la nuit afin que l'intensité des foyers soit réduite et ce matin le dispositif a été renouvelé. Tout est fait aujourd'hui pour faire en sorte d'épurer la situation au plus tôt", précise le commandant Valère Minoton, officier de permanence.
Les pompiers travaillent en étroite collaboration avec les salariés de la décharge équipés de pelleteuses mécaniques. "On est dans un feu qui présente une configuration particulière, c'est-à-dire qu'on ne peut pas l'éteindre, on doit l'étouffer. Et pour cela nous avons besoin de moyens lourds, des engins à bras (pelle), mais nous avons aussi besoin de terre et d'eau", justifie l'officier de permanence.
Une épaisse fumée et une odeur incommodante perturbent les habitants des communes voisines. Selon les pompiers, la gêne se fait ressentir jusqu'au Diamant par rapport aux vents.
Concernant la cause, "le feu a pris certainement par rapport à la chaleur qu'on a connue hier et c'est généralement dans cette configuration-là que le feu se déploie", assure le commandant Valère Minoton.
Depuis vendredi soir (30 mars), les pompiers des casernes de Rivière-Salée et de Rivière-Pilote sont mobilisés sur cet incendie. "Nous avons travaillé toute la nuit afin que l'intensité des foyers soit réduite et ce matin le dispositif a été renouvelé. Tout est fait aujourd'hui pour faire en sorte d'épurer la situation au plus tôt", précise le commandant Valère Minoton, officier de permanence.
Les pompiers travaillent en étroite collaboration avec les salariés de la décharge équipés de pelleteuses mécaniques. "On est dans un feu qui présente une configuration particulière, c'est-à-dire qu'on ne peut pas l'éteindre, on doit l'étouffer. Et pour cela nous avons besoin de moyens lourds, des engins à bras (pelle), mais nous avons aussi besoin de terre et d'eau", justifie l'officier de permanence.
La gêne se fait ressentir jusqu'au Diamant
Une épaisse fumée et une odeur incommodante perturbent les habitants des communes voisines. Selon les pompiers, la gêne se fait ressentir jusqu'au Diamant par rapport aux vents.
Concernant la cause, "le feu a pris certainement par rapport à la chaleur qu'on a connue hier et c'est généralement dans cette configuration-là que le feu se déploie", assure le commandant Valère Minoton.