Le second tour de la présidentielle fait naître quelques interrogations sur le déroulement du vote. Les maires s’organisent pour avoir des assesseurs en nombre suffisant, le 06 mai, et ils peuvent mobiliser des conseillers municipaux ou des électeurs présents à l’ouverture des bureaux.
Le deuxième tour de l'élection présidentielle fait naitre quelques interrogations sur le déroulement du vote. Généralement, ce sont les partis en lice qui fournissent les assesseurs, indispensable au bon déroulement du scrutin. Le duel inédit du second tour, le 06 mai, n'arrange pas les choses. Les deux formations finalistes ont du mal à fournir le nombre d'assesseurs nécessaires.
Le Code électoral, exige que les bureaux de vote soient constitués, "au minimum, d'un président, d'un secrétaire et de deux assesseurs. Si leur nombre est inférieur à deux, les assesseurs manquants sont mobilisés parmi les conseillers municipaux ou les électeurs présents à l'ouverture des bureaux de vote à 8 heures.
Vous pouvez être réquisitionné et vous ne pouvez pas dire non. Tout se joue au début des opérations de vote.
Écoutez les explications de Thierry Claveau, formateur en droit électoral (entretien Maurice Violton)
Le Code électoral, exige que les bureaux de vote soient constitués, "au minimum, d'un président, d'un secrétaire et de deux assesseurs. Si leur nombre est inférieur à deux, les assesseurs manquants sont mobilisés parmi les conseillers municipaux ou les électeurs présents à l'ouverture des bureaux de vote à 8 heures.
Vous pouvez être réquisitionné et vous ne pouvez pas dire non. Tout se joue au début des opérations de vote.
Écoutez les explications de Thierry Claveau, formateur en droit électoral (entretien Maurice Violton)