La campagne est désormais lancée entre les 7 candidats de la droite et du centre depuis la publication (mercredi 21 septembre) de la liste officielle par la haute autorité chargée d’organiser la primaire interne. Des candidatures qui se résume à deux conceptions bien différentes de la France.
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L’heure de vérité va bientôt sonner pour la famille éclatée de la droite. L’élection primaire interne lui permettra de clarifier sa doctrine en vue de l’élection présidentielle de mai 2017. En tout cas, il est à espérer que la compétition désormais lancée entre sept candidats débouche sur une stratégie cohérente et simple à comprendre par les électeurs.
Deux stratégies leurs seront proposées : chasser sur les terres du Front national pour attirer ceux qui se laissent tenter par un discours articulé sur le clivage ; ou adopter le traditionnel discours républicain pour cristalliser des électeurs modérés. Car qu’on ne s’y trompe pas : derrière les rivalités personnelles et les inimitiés entre les candidats incarnant les différents courants de la droite, se profilent de réelles divergences sur la conception du monde, sur les choix économiques, sur les questions de société, sur la place de la France dans le monde.
Les uns n’hésitent plus à reprendre à leur compte les thèmes habituels de l’extrême droite : l’immigration considérée comme envahissante, l’insécurité jugée permanente, la peur affichée de l’islam, la crispation sur l’identité française. Les autres demeurent sur une ligne fidèle à la tradition d’un courant de pensée libéral en économie et sur les mœurs, plus ouvert en somme.
La fin de la campagne interne est fixée au 28 novembre. Les électeurs de droite ont désormais le choix entre deux visions différentes de la France.
Deux stratégies leurs seront proposées : chasser sur les terres du Front national pour attirer ceux qui se laissent tenter par un discours articulé sur le clivage ; ou adopter le traditionnel discours républicain pour cristalliser des électeurs modérés. Car qu’on ne s’y trompe pas : derrière les rivalités personnelles et les inimitiés entre les candidats incarnant les différents courants de la droite, se profilent de réelles divergences sur la conception du monde, sur les choix économiques, sur les questions de société, sur la place de la France dans le monde.
Les uns n’hésitent plus à reprendre à leur compte les thèmes habituels de l’extrême droite : l’immigration considérée comme envahissante, l’insécurité jugée permanente, la peur affichée de l’islam, la crispation sur l’identité française. Les autres demeurent sur une ligne fidèle à la tradition d’un courant de pensée libéral en économie et sur les mœurs, plus ouvert en somme.
La fin de la campagne interne est fixée au 28 novembre. Les électeurs de droite ont désormais le choix entre deux visions différentes de la France.