Quelques jours après la commercialisation des premières tablettes de chocolat 100% locales, les producteurs ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Il leur reste encore quelques beaux objectifs à atteindre.
Première urgence : trouver un atelier plus grand pour la transformation du cacao. Le local que les producteurs occupent depuis trois ans au Parc Agroalimentaire de Martinique (au Lamentin), n’est plus en mesure d’accueillir des cultivateurs toujours plus nombreux.
Le chantier est bien avancé, selon Kora Bernabé, présidente de Valcaco, le groupement d’agriculteurs. Elle se donne un an maximum pour finaliser le projet. C'est la rançon du succès, en quelque sorte. Car le nombre de producteurs ne cesse d’augmenter. Il a triplé depuis la relance de la production martiniquaise en 2012. Ils sont une trentaine aujourd’hui, plus une quarantaine d’autres placés sur liste d’attente.
1.200 kilos de cacao ont été traités en atelier depuis septembre 2018. C’est 4 fois plus que l’année précédente.
Fèves que la profession veut valoriser, grâce au label AOC, le même qui a contribué à la notoriété de nos rhums. Mais il faudra attendre un peu avant de manger un chocolat d’appellation d’origine contrôlée, au moins 5 ans, selon nos informations.
Que les gourmands qui aimeraient goûter à nouveau aux tablettes Valcaco se rassurent. Il devrait y en avoir encore jusqu’à la fin de l’année. Plus de 5.000 tablettes viendront s’ajouter aux 1.700 récemment distribuées.
Inutile, en revanche, de les chercher dans les rayons des grandes surfaces. Elles ne seront disponibles que dans les épiceries fines, ou vendues directement aux particuliers. Les volumes réalisés jusqu’ici empêchent, pour l’instant, toute commercialisation massive.
Le chantier est bien avancé, selon Kora Bernabé, présidente de Valcaco, le groupement d’agriculteurs. Elle se donne un an maximum pour finaliser le projet. C'est la rançon du succès, en quelque sorte. Car le nombre de producteurs ne cesse d’augmenter. Il a triplé depuis la relance de la production martiniquaise en 2012. Ils sont une trentaine aujourd’hui, plus une quarantaine d’autres placés sur liste d’attente.
Producteurs en hausse et production croissante
1.200 kilos de cacao ont été traités en atelier depuis septembre 2018. C’est 4 fois plus que l’année précédente.
Fèves que la profession veut valoriser, grâce au label AOC, le même qui a contribué à la notoriété de nos rhums. Mais il faudra attendre un peu avant de manger un chocolat d’appellation d’origine contrôlée, au moins 5 ans, selon nos informations.
Tablettes disponibles dans les épiceries fines ou vendues directement aux particuliers
Que les gourmands qui aimeraient goûter à nouveau aux tablettes Valcaco se rassurent. Il devrait y en avoir encore jusqu’à la fin de l’année. Plus de 5.000 tablettes viendront s’ajouter aux 1.700 récemment distribuées.
Inutile, en revanche, de les chercher dans les rayons des grandes surfaces. Elles ne seront disponibles que dans les épiceries fines, ou vendues directement aux particuliers. Les volumes réalisés jusqu’ici empêchent, pour l’instant, toute commercialisation massive.