Les électeurs de la Nouvelle Calédonie doivent se prononcer dimanche prochain (4 novembre 2018), pour ou contre l'indépendance de ce territoire d'Outre-Mer qui relève de la souveraineté française depuis 1853. Le scrutin interpelle la classe politique martiniquaise.
Le référendum du 4 novembre 2018 en Nouvelle Calédonie interpelle la classe politique en Martinique. Dans le camp des militants indépendantistes historiques, Robert Saé est sceptique. "Tout le monde sait que le résultat sera non à l'indépendance parce que l'État français détient les moyens médiatiques, financiers, et il a la possibilité de faire un chantage à l'emploi dans les entreprises qu'il contrôle".
Francis Carole, le conseiller exécutif, par ailleurs président du Palima (Parti pour la Libération de la Martinique) est attentif. "Pour les peuples comme le nôtre c'est une expérience à suivre avec attention. Non pas pour copier les choses à l'identique mais pour voir comment les problématiques de libération peuvent se poser dans le contexte qui est le nôtre aujourd'hui".
Le chef de file des autonomistes martiniquais, le député Serge Letchimy, président du Parti Progressiste Martiniquais, observe cette actualité avec attention, tout comme la droite locale.
(Re)voir les réactions dans ce reportage de Cyriaque Sommier et Marc-François Calmo.
Francis Carole, le conseiller exécutif, par ailleurs président du Palima (Parti pour la Libération de la Martinique) est attentif. "Pour les peuples comme le nôtre c'est une expérience à suivre avec attention. Non pas pour copier les choses à l'identique mais pour voir comment les problématiques de libération peuvent se poser dans le contexte qui est le nôtre aujourd'hui".
Le chef de file des autonomistes martiniquais, le député Serge Letchimy, président du Parti Progressiste Martiniquais, observe cette actualité avec attention, tout comme la droite locale.
(Re)voir les réactions dans ce reportage de Cyriaque Sommier et Marc-François Calmo.