Pour les besoins d'un important projet de réhabilitation des églises de Martinique, le diocèse vient de lancer un appel au mécénat. Chefs d'entreprises et particuliers sont sollicités.
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Concernant la concrétisation du projet, Contact-Entreprises a fait part de son optimisme. "Beaucoup de personnes" ont déjà donné leur accord, selon l’association patronale, qui ne donne toutefois pas de chiffre.
Qu’est-ce qui motive les donateurs ? La crainte de voir une partie de notre patrimoine disparaître ? Ou les avantages fiscaux découlant de leur participation à ce projet ? Sans doute un peu des deux.
Faut-il rappeler que les donateurs peuvent bénéficier d’une réduction d’impôts sur la somme versée: 60%, pour les entreprises, 66% pour les particuliers, et 75%, pour ceux payant l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière), successeur de l’ISF (Impôt Sur la Fortune).
Ceci dit, contrairement à ce qu’on pourrait penser, il n’y a pas que les plus riches qui sont partants. De "nombreux particuliers", de l’aveu toujours de Contact-Entreprises, se sont également positionnés.
Parmi eux, figurent des martiniquais profondément attachés à notre histoire. Une grosse partie de notre patrimoine appartient, en effet, à l’Église Catholique. Des bâtiments et du mobilier, d’une valeur historique rare, à garder précieusement pour le diocèse. D’où ce vaste chantier de réhabilitation lancé il y a quelques semaines. Coût estimé : quarante millions d’euros.
La quasi-totalité des églises sont concernées, avec la priorité donnée à celles de Sainte-Thérèse, Balata, Saint-Christophe (Fort-de-France) et Basse-Pointe, édifices les plus abîmés. Il faudra une dizaine d’années pour tout remettre à neuf.
Une exception, toutefois : les églises classées "Monuments historiques". Les travaux sont encadrés par l’Etat.
Qu’est-ce qui motive les donateurs ? La crainte de voir une partie de notre patrimoine disparaître ? Ou les avantages fiscaux découlant de leur participation à ce projet ? Sans doute un peu des deux.
Des réductions d'impôts d'au moins 60%
Faut-il rappeler que les donateurs peuvent bénéficier d’une réduction d’impôts sur la somme versée: 60%, pour les entreprises, 66% pour les particuliers, et 75%, pour ceux payant l’IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière), successeur de l’ISF (Impôt Sur la Fortune).
Ceci dit, contrairement à ce qu’on pourrait penser, il n’y a pas que les plus riches qui sont partants. De "nombreux particuliers", de l’aveu toujours de Contact-Entreprises, se sont également positionnés.
Parmi eux, figurent des martiniquais profondément attachés à notre histoire. Une grosse partie de notre patrimoine appartient, en effet, à l’Église Catholique. Des bâtiments et du mobilier, d’une valeur historique rare, à garder précieusement pour le diocèse. D’où ce vaste chantier de réhabilitation lancé il y a quelques semaines. Coût estimé : quarante millions d’euros.
Les églises de Fort-de-France et de Basse-Pointe en pôle
La quasi-totalité des églises sont concernées, avec la priorité donnée à celles de Sainte-Thérèse, Balata, Saint-Christophe (Fort-de-France) et Basse-Pointe, édifices les plus abîmés. Il faudra une dizaine d’années pour tout remettre à neuf.
Une exception, toutefois : les églises classées "Monuments historiques". Les travaux sont encadrés par l’Etat.