C'est la pire sécheresse depuis 70 ans à Saint-Vincent et les Grenadines. La régie des eaux fonctionne avec seulement 35% de son débit habituel. Les rivières sont à sec. Les coupures tournantes d’eau potable sont quotidiennes. L’unique solution proposée c'est de prier pour la pluie.
La régie des eaux de Saint-Vincent et les Grenadines a été formelle. Pour augmenter la capacité de distribution d’eau potable, les abonnés doivent prier pour avoir au moins deux jours de pluie par semaine.
Les techniciens et les ingénieurs n’ont pas d’autres solutions. Tous les points de captation sont épuisés.
Durant le mois de mai 2020, les services de l'eau ont enregistré un important déficit. 48 mm de précipitation, alors que la moyenne devait être à 248 mm. La régie des eaux ne peut plus assurer son propre programme de coupures tournantes. Les techniciens conseillent aux clients de faire des réserves quand il y de l’eau dans les robinets.
La pénurie touche surtout le sud du pays autour de la capitale Kingstown ou près de 50% des 110.000 habitants du pays vivent. Le nord de l’ile, moins peuplé, est moins concerné par les problèmes d'eau. Pour éviter le gaspillage, la régie des eaux annonce la déconnexion automatique des arrosages des jardins. Ils ont également arrêté le lavage des véhicules et le remplissage de piscines.
Ces mesures ont été prises pendant la circulation du COVID19 sur le territoire.
Construire une usine de dessalement n'est pas rentable à Saint-Vincent et les Grenadines. Cette option est coûteuse et consomme beaucoup d’électricité. Le prix de l’eau extrait par le dessalement est 10 fois plus cher que l’eau puisée dans les rivières.
L’usager moyen à Saint-Vincent et les Grenadines ne pourra pas supporter une telle augmentation. À cela il faut aussi ajouter les rejets issus de dessalement qui sont toxiques pour l’environnement.
Les techniciens et les ingénieurs n’ont pas d’autres solutions. Tous les points de captation sont épuisés.
Durant le mois de mai 2020, les services de l'eau ont enregistré un important déficit. 48 mm de précipitation, alors que la moyenne devait être à 248 mm. La régie des eaux ne peut plus assurer son propre programme de coupures tournantes. Les techniciens conseillent aux clients de faire des réserves quand il y de l’eau dans les robinets.
La pénurie touche surtout le sud du pays autour de la capitale Kingstown ou près de 50% des 110.000 habitants du pays vivent. Le nord de l’ile, moins peuplé, est moins concerné par les problèmes d'eau. Pour éviter le gaspillage, la régie des eaux annonce la déconnexion automatique des arrosages des jardins. Ils ont également arrêté le lavage des véhicules et le remplissage de piscines.
Ces mesures ont été prises pendant la circulation du COVID19 sur le territoire.
Le dessalement coûte trop cher
Construire une usine de dessalement n'est pas rentable à Saint-Vincent et les Grenadines. Cette option est coûteuse et consomme beaucoup d’électricité. Le prix de l’eau extrait par le dessalement est 10 fois plus cher que l’eau puisée dans les rivières.
L’usager moyen à Saint-Vincent et les Grenadines ne pourra pas supporter une telle augmentation. À cela il faut aussi ajouter les rejets issus de dessalement qui sont toxiques pour l’environnement.