L’IEDOM vient de révéler les chiffres de 2018 sur le surendettement. Bonne nouvelle ! Le nombre de demandeurs continue de reculer.
406 dossiers de surendettement ont été déposés l’an dernier à l'IEDOM (Institut d'Émission des Départements d'Outre-Mer). C'est la 4e année consécutive de baisse ! Un chiffre qu’il faut quand même nuancer. La peur du fichage, la solidarité familiale et une connaissance imparfaite du dispositif expliquent cette tendance.
Autre raison : un taux de récidive très bas. Peu de gens confrontés à ce problème replongent, bien conseillés qu’ils sont par l’IEDOM. De fait, il ne reste plus quasiment que des "nouveaux" dans les cas traités par l’institut.
Premier cas : le débiteur rembourse les sommes dues, grâce à un plan d’étalement. Autre possibilité : les créances sont effacées directement, ou au bout de deux ans. Deux ans, c’est le temps durant lequel les créanciers sont accompagnés par l’IEDOM. Parfois, et c’est le cas le plus fréquent, leurs dettes sont gelées dans le même intervalle.
Des cas de surendettement qui sont bien souvent la cause d’accidents de la vie, chômage, maladie, décès d’un proche. Ils représentent deux tiers des cas examinés par l’IEDOM. Le reste résulte d’une mauvaise gestion.
Dans tous les cas, il s’agit pour l’essentiel des concernés, de personnes aux revenus bas. Celles touchant un salaire correct ne constituent qu’une minorité.
Autre raison : un taux de récidive très bas. Peu de gens confrontés à ce problème replongent, bien conseillés qu’ils sont par l’IEDOM. De fait, il ne reste plus quasiment que des "nouveaux" dans les cas traités par l’institut.
Surendettement à cause d'accidents de la vie, chômage, maladie, décès d’un proche...
Premier cas : le débiteur rembourse les sommes dues, grâce à un plan d’étalement. Autre possibilité : les créances sont effacées directement, ou au bout de deux ans. Deux ans, c’est le temps durant lequel les créanciers sont accompagnés par l’IEDOM. Parfois, et c’est le cas le plus fréquent, leurs dettes sont gelées dans le même intervalle.
Des cas de surendettement qui sont bien souvent la cause d’accidents de la vie, chômage, maladie, décès d’un proche. Ils représentent deux tiers des cas examinés par l’IEDOM. Le reste résulte d’une mauvaise gestion.
Dans tous les cas, il s’agit pour l’essentiel des concernés, de personnes aux revenus bas. Celles touchant un salaire correct ne constituent qu’une minorité.