Les navettes maritimes entre les Trois-Ilets et Fort-de-France sont une alternative pour les automobilistes du sud en particulier, qui veulent regagner Fort-de-France pour participer au carnaval. Mais le retour est plus compliqué comme l'ont constaté certains usagers depuis dimanche dernier.
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Laisser sa voiture aux Trois-Ilets pour rallier Fort-de-France en navette maritime, c’est le choix de nombreux martiniquais et touristes du sud de l'île qui veulent vivre le carnaval dans la capitale, sans se soucier des problèmes de stationnement et d’embouteillage.
En revanche, pour le retour vers les Trois-Ilets, c’est plus compliqué de l’aveu d’autres utilisateurs des Vedettes Tropicales, expérience vécue lundi soir (24 février 2020) par une habituée.
Charles Conconne, le directeur de l’entreprise de transport s’en explique.
Victimes de leur succès, les Vedettes Tropicales devraient maintenir cette cadence jusqu’en fin de semaine, d’autant que les vacances du carnaval sont aussi l’occasion pour de nombreux foyalais de faire des escapades sur les plages des Trois-Ilets.
(Avis d’usagers)C’est pratique et rapide (…). Même quand il n’y pas carnaval, pas de bouchon à affronter, je suis une habituée (…). En tant que touriste hébergé aux Trois-Ilets, pas besoin de louer un véhicule.
En revanche, pour le retour vers les Trois-Ilets, c’est plus compliqué de l’aveu d’autres utilisateurs des Vedettes Tropicales, expérience vécue lundi soir (24 février 2020) par une habituée.
La compagnie Vedette Tropicales (l’unique prestataire) a pourtant mis en service une flotte de 10 navires, avec des rotations toutes les 30mn entre 14h et 21h (dimanche, mardi et mercredi des cendres). Concernant le lundi 24 février 2020, la fin du trafic était programmée à 20h.On avait affirmé aux passagers qui se sont renseignés le matin, qu’il y aurait une vedette à 20h45 (…). Finalement, une plaisancière a proposé à certains de les ramener en bateau…Les autres ont du prendre un taxi, dont des touristes.
Charles Conconne, le directeur de l’entreprise de transport s’en explique.
Charles Conconne, gérant des "Vedettes Tropicales"