Une anecdote méconnue mérite d’être signalée pour bien montrer la sensibilité particulière que Jacques Chirac avait envers l’Outre-mer.
En novembre 1994, en pleine traversée du désert, Jacques Chirac effectue un déplacement de quelques jours en Martinique et en Guadeloupe. Il veut reconquérir les faveurs de l’opinion publique. Son objectif : être élu président de la République.
En ce mois de novembre 1994, Jacques Chirac est installé dans un grand hôtel de la périphérie de Fort-de-France. Les manches retroussées de sa chemise bleue, sans cravate, il reçoit, sans protocole et en toute simplicité, tous ceux qui veulent l’approcher. Il écoute attentivement. Il prend des notes sur un carnet. Il pose des questions pour être éclairé. Il prodigue conseils et des promesses d’aides à des anonymes qui lui remettent un dossier ou une lettre.
Il reçoit aussi des marques de sympathie et de soutien, apparemment déterminantes. Il confiera plus tard que c’est sous les tropiques qu’il puisera la force et l’énergie nécessaires pour s’engager dans la bataille présidentielle. Il finira par l’emporter, six mois plus tard, en mai 1995, après deux tentatives infructueuses.
En ce mois de novembre 1994, Jacques Chirac est installé dans un grand hôtel de la périphérie de Fort-de-France. Les manches retroussées de sa chemise bleue, sans cravate, il reçoit, sans protocole et en toute simplicité, tous ceux qui veulent l’approcher. Il écoute attentivement. Il prend des notes sur un carnet. Il pose des questions pour être éclairé. Il prodigue conseils et des promesses d’aides à des anonymes qui lui remettent un dossier ou une lettre.
Il reçoit aussi des marques de sympathie et de soutien, apparemment déterminantes. Il confiera plus tard que c’est sous les tropiques qu’il puisera la force et l’énergie nécessaires pour s’engager dans la bataille présidentielle. Il finira par l’emporter, six mois plus tard, en mai 1995, après deux tentatives infructueuses.