Le rhum de Martinique affiche un chiffre d'affaires annuel qui a doublé en 15 ans, avec au moins 300 emplois créés dans les années 2000. La demande est forte. Une centaine de pays achètent aujourd'hui notre rhum.
•
Et si c'était la filière la plus dynamique de ces 15 dernières années en Martinique ? Le rhum affiche des résultats que beaucoup lui envieraient. Un chiffre d'affaires annuel qui a doublé en 15 ans, et au moins 300 emplois créés dans les années 2000.
Presque tous les indicateurs sont au vert ! Il faut dire que la demande est forte. Une centaine de pays achètent aujourd'hui notre rhum : L'Italie, les États-Unis et l'Espagne figurent parmi nos principaux clients. Mais le premier marché reste la France, plus grand consommateur de rhum, devant la Martinique.
Les quantités livrées auraient pu être encore plus importantes, si l'Europe n'avait pas fixé de quotas. Cela signifie que les départements producteurs ne peuvent exporter que 30 millions de litres de rhum vers la France. En retour, nos régions bénéficient d'une détaxe de 50%.
Autre défi à relever pour la profession : l'approvisionnement en matières premières. La filière a recueilli, lors de la dernière récolte, 230.000 tonnes de cannes, alors qu'elle a besoin de 300.000 tonnes. Pour atteindre cet objectif, il faudrait davantage de petits planteurs. Seulement voilà, ils ne sont pas assez nombreux. Certains hésitent encore à se lancer, à cause des retards observés dans le versement des fonds européens...
Presque tous les indicateurs sont au vert ! Il faut dire que la demande est forte. Une centaine de pays achètent aujourd'hui notre rhum : L'Italie, les États-Unis et l'Espagne figurent parmi nos principaux clients. Mais le premier marché reste la France, plus grand consommateur de rhum, devant la Martinique.
Les quantités livrées auraient pu être encore plus importantes, si l'Europe n'avait pas fixé de quotas. Cela signifie que les départements producteurs ne peuvent exporter que 30 millions de litres de rhum vers la France. En retour, nos régions bénéficient d'une détaxe de 50%.
Autre défi à relever pour la profession : l'approvisionnement en matières premières. La filière a recueilli, lors de la dernière récolte, 230.000 tonnes de cannes, alors qu'elle a besoin de 300.000 tonnes. Pour atteindre cet objectif, il faudrait davantage de petits planteurs. Seulement voilà, ils ne sont pas assez nombreux. Certains hésitent encore à se lancer, à cause des retards observés dans le versement des fonds européens...