Les lundi 27, mardi 28 et mercredi 29 janvier 2020, des bus ont été la cible de plusieurs caillassages sur l’axe RN1, entre
TREVANI et KOUNGOU. Les individus mineurs , dissimulés dans les fourrés, profitaient du passage des autocars pour leur jeter des pierres.
TREVANI et KOUNGOU. Les individus mineurs , dissimulés dans les fourrés, profitaient du passage des autocars pour leur jeter des pierres.
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Dans un communiqué , le commandement de la gendarmerie de Mayotte explique les circonstances de l’interpellation des auteurs présumés de ces caillassages.
Mercredi 29 janvier, vers 17h30, grâce à la participation active d’un témoin de la scène, qui les a retenus jusqu’à l’arrivée des gendarmes de la BTA de KOUNGOU, les présumés auteurs ont finalement pu être interpellés. Au nombre de 06 et âgés de 11 à 12 ans, ils ont été conduits dans les locaux de la brigade.
Leurs parents, identifiés, les y rejoints, pour assister à leur audition, comme le prévoit la loi. Présentés à l’issue, à un magistrat du TGI de MAMOUDZOU, ils vont faire l’objet d’une convocation ultérieure en justice. Naturellement, les parents étant civilement responsables, pourront être condamnés à la réparation des dégâts occasionnés par leurs enfants, à l’initiative des sociétés de transport qui ont subi un préjudice. Ces circonstances illustrent on ne peut mieux, le résultat des carences éducatives qui permettent le passage à l’acte répété d’actes dangereux, par de très jeunes enfants totalement irresponsables. Ces faits ont entraîné pendant toute la semaine écoulée, des services de sécurisation des transports, déclinés notamment, par embarquement de gendarmes dans les bus, contrairement à ce qui a pu être affirmé dans certains journaux. Ils ont aussi mobilisé et continueront de le faire, autant que nécessaire, des patrouilles en service d’escorte de bus, qui pendant ce temps, ne pouvaient agir ailleurs plus utilement, pour prévenir la délinquance. « L’action de la gendarmerie, pour la sécurisation de l’environnement scolaire, des transports jusqu’aux portes des établissements, s‘accomplit quotidiennement, dans des conditions de moyens et d’effectifs adaptés à l’évolution des situations, en partenariat étroit avec le rectorat et les transporteurs scolaires.
Elle ne saurait pallier les responsabilités portées par d’autres, dans le constat de la violence qui s’exerce dans l’environnement scolaire de ce département ».
Mercredi 29 janvier, vers 17h30, grâce à la participation active d’un témoin de la scène, qui les a retenus jusqu’à l’arrivée des gendarmes de la BTA de KOUNGOU, les présumés auteurs ont finalement pu être interpellés. Au nombre de 06 et âgés de 11 à 12 ans, ils ont été conduits dans les locaux de la brigade.
Leurs parents, identifiés, les y rejoints, pour assister à leur audition, comme le prévoit la loi. Présentés à l’issue, à un magistrat du TGI de MAMOUDZOU, ils vont faire l’objet d’une convocation ultérieure en justice. Naturellement, les parents étant civilement responsables, pourront être condamnés à la réparation des dégâts occasionnés par leurs enfants, à l’initiative des sociétés de transport qui ont subi un préjudice. Ces circonstances illustrent on ne peut mieux, le résultat des carences éducatives qui permettent le passage à l’acte répété d’actes dangereux, par de très jeunes enfants totalement irresponsables. Ces faits ont entraîné pendant toute la semaine écoulée, des services de sécurisation des transports, déclinés notamment, par embarquement de gendarmes dans les bus, contrairement à ce qui a pu être affirmé dans certains journaux. Ils ont aussi mobilisé et continueront de le faire, autant que nécessaire, des patrouilles en service d’escorte de bus, qui pendant ce temps, ne pouvaient agir ailleurs plus utilement, pour prévenir la délinquance. « L’action de la gendarmerie, pour la sécurisation de l’environnement scolaire, des transports jusqu’aux portes des établissements, s‘accomplit quotidiennement, dans des conditions de moyens et d’effectifs adaptés à l’évolution des situations, en partenariat étroit avec le rectorat et les transporteurs scolaires.
Elle ne saurait pallier les responsabilités portées par d’autres, dans le constat de la violence qui s’exerce dans l’environnement scolaire de ce département ».