La majorité des élus du conseil départemental de Mayotte a juré de ne pas aller à l'encontre du président. Cela a limité les prises de position dans les débats sur l'attribution du marché des transports scolaires.
Le conseil départemental de Mayotte doit gérer un mouvement de grève d’une partie des transporteurs scolaires. De nombreux élèves ne peuvent plus rejoindre leurs établissements. Depuis le début de la semaine, ils érigent des barrages routiers pour exiger des bus.
A l’origine de ce mouvement, l’attribution du marché des transports scolaires. Il est apparu 3 camps dans ce dossier ; les légalistes qui demandent à ce que tout soit remis à plat pour poursuivre la procédure normale; un autre camp constitué des pro-Matis, l’entreprise qui avait le marché jusqu’à ce jour et puis le troisième est celui des partisans de la préférence locale.
Mais dans ce bras de fer, la voix du président est prépondérante, et pour cause :
Les conseillers départementaux de Mayotte sont tenus pas un serment de ne jamais aller à l’encontre de l’avis du président de leur assemblée. C’est ce qu’a révélé Hadj Issoufi Mhoko, le 2ème vice-président du conseil départemental.
Et seuls, ceux qui n’ont pas juré sur le Coran ce jour-là, peuvent se permettre d’aller à l’encontre de la parole de Soibahadine Ibrahim Ramadani.
A l’origine de ce mouvement, l’attribution du marché des transports scolaires. Il est apparu 3 camps dans ce dossier ; les légalistes qui demandent à ce que tout soit remis à plat pour poursuivre la procédure normale; un autre camp constitué des pro-Matis, l’entreprise qui avait le marché jusqu’à ce jour et puis le troisième est celui des partisans de la préférence locale.
Mais dans ce bras de fer, la voix du président est prépondérante, et pour cause :
Les conseillers départementaux de Mayotte sont tenus pas un serment de ne jamais aller à l’encontre de l’avis du président de leur assemblée. C’est ce qu’a révélé Hadj Issoufi Mhoko, le 2ème vice-président du conseil départemental.
Et seuls, ceux qui n’ont pas juré sur le Coran ce jour-là, peuvent se permettre d’aller à l’encontre de la parole de Soibahadine Ibrahim Ramadani.