Le directeur de l’ACFAV, mis à pied, est venu se défendre au lendemain des accusations lancées contre lui par la présidente Sophiata Souffou.
Etienne Aka retourne l’accusation de harcèlement lancée contre lui, il évoque « une coalition de salariés encouragée par la présidente » qui l’aurait harcelé, lui et deux autres employés de la structure, en raison de leurs origines ». « Madame Souffou a recueilli des faux témoignages contre moi, la présidente de l’ACFAV ment.
Etienne Aka dément s’être versé des primes abusives comme le dit la présidente. « J’ai touché la prime Ségur, de 238 euros, accordée par la DEETS… Ce n’est pas du blabla, j’ai toutes les preuves, les échanges de courriers ».
L’ex-directeur dit réserver ces preuves pour le Conseil des Prud’hommes, et il remercie le personnel de l’institution, « je lui souhaite une autre présidente moins tyrannique et plus féministe ».