500 grands frères exigent une révision des relations avec la mère patrie
L’outremer n’est toujours pas un sujet important dans la campagne présidentielle en cours. Pire encore, certains ne voudraient pas que ce qui se passe en Guyane et qui peut à tout moment se passer sur un autre territoire ultramarin français soit "récupéré". Des prétendants consacrent, cependant, quelques lignes, voir quelques paragraphes à l’outremer dans leurs programmes. Des révolutionnaires !
Et c’est là tout le problème : l’outremer c’est aussi la France. Et les passages éclairs des candidats dans les départements les plus peuplés seulement, renforcent les frustrations.
Même si la crise guyanaise n’est pas transposable partout, elle émane de cette partie non occidentale de la République. C’est la France des chamanes, des marabouts et des peuples premiers qui ‘est réveillée. Celle, peu rentable en termes de suffrages.
Les revendications pour dénoncer les retards et les oublis de la métropole sont faites depuis longtemps, et elles sont connues.
La sécurité, la liberté, l’éducation et la santé sont un minimum légal que tout citoyen français attend de son pays et de son gouvernement.
Il faut savoir que parmi ces sociétés ultramarines, il en existe qui ont des cultures et des civilisations millénaires. Des richesses inestimables avec les instruments de mesure de Bruxelles et de Paris. La terre en est une par exemple.
Et quand le gouvernement s’est excusé, le message a fait le tour de toutes les tribus et les mosquées.
Reste maintenant à écrire une autre page "entre français".Une démarche nouvelle, autre que celle qui a consisté à signer des chèques, même en blanc, à des leaders politiques.
Doit-on pour cela passer à une autre République, ou bien tout simplement, commencer par appliquer celle qui existe déjà, qui prône l’Egalité entre les français et qui proclame aussi que « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale » ?
Les manifestants de Guyane exigent une révision du statut de leur département.
Une suite logique, après les excuses, mais pourvu que la France n’est pas ouvert la boîte de Pandore en Guyane.
Et c’est là tout le problème : l’outremer c’est aussi la France. Et les passages éclairs des candidats dans les départements les plus peuplés seulement, renforcent les frustrations.
Même si la crise guyanaise n’est pas transposable partout, elle émane de cette partie non occidentale de la République. C’est la France des chamanes, des marabouts et des peuples premiers qui ‘est réveillée. Celle, peu rentable en termes de suffrages.
Les revendications pour dénoncer les retards et les oublis de la métropole sont faites depuis longtemps, et elles sont connues.
La sécurité, la liberté, l’éducation et la santé sont un minimum légal que tout citoyen français attend de son pays et de son gouvernement.
Il faut savoir que parmi ces sociétés ultramarines, il en existe qui ont des cultures et des civilisations millénaires. Des richesses inestimables avec les instruments de mesure de Bruxelles et de Paris. La terre en est une par exemple.
Et quand le gouvernement s’est excusé, le message a fait le tour de toutes les tribus et les mosquées.
Reste maintenant à écrire une autre page "entre français".Une démarche nouvelle, autre que celle qui a consisté à signer des chèques, même en blanc, à des leaders politiques.
Doit-on pour cela passer à une autre République, ou bien tout simplement, commencer par appliquer celle qui existe déjà, qui prône l’Egalité entre les français et qui proclame aussi que « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale » ?
Les manifestants de Guyane exigent une révision du statut de leur département.
Une suite logique, après les excuses, mais pourvu que la France n’est pas ouvert la boîte de Pandore en Guyane.