Le sommet de la francophonie s'y tient cette semaine et depuis ce lundi matin ont débuté les assises de la presse francophone.
Et c'est la "liberté de la presse" qui a pris le pas sur le thème officiel, l'"Économie des médias dans les pays en développement."
Il y a évidemment cette nouvelle loi sur la presse à Madagascar que des journalistes considèrent comme étant liberticide. Et comme pour répondre à ces attaques, le président de la République Hery Martial Rajaonarimampianina' a rappelé que les journalistes ont des droits mais aussi des devoirs et le premier est celui de vérité. De son côté, Madiambal Diagne président de l Union de la Presse Francophone "espère que les autorités malgaches, avant la promulgation de ladite loi, donneront l occasion de relancer le dialogue et la concertation autour de cette loi essentielle pour la démocratie et les libertés fondamentales".
Ces événements internationaux qui se déroulent sur la grande île sont placés sous le parrainage de la famille royale du Maroc qui vient, en quelque sorte, en pèlerinage là où le sultan Mohamed V, roi de Maroc avait été envoyé en exile par la France en 1954.
La tenue de ces grands rendez-vous des francophones ici à Madagascar était un grand pari difficile à gagner . L'île a dû faire face à une image très dégradée à extérieur après les agressions mortelles de touristes français il y a quelques mois. Une image que les autorités du pays, le ministre du tourisme à leur tête, se sont attelées à redorer lors de leurs interventions.
Il y a évidemment cette nouvelle loi sur la presse à Madagascar que des journalistes considèrent comme étant liberticide. Et comme pour répondre à ces attaques, le président de la République Hery Martial Rajaonarimampianina' a rappelé que les journalistes ont des droits mais aussi des devoirs et le premier est celui de vérité. De son côté, Madiambal Diagne président de l Union de la Presse Francophone "espère que les autorités malgaches, avant la promulgation de ladite loi, donneront l occasion de relancer le dialogue et la concertation autour de cette loi essentielle pour la démocratie et les libertés fondamentales".
Ces événements internationaux qui se déroulent sur la grande île sont placés sous le parrainage de la famille royale du Maroc qui vient, en quelque sorte, en pèlerinage là où le sultan Mohamed V, roi de Maroc avait été envoyé en exile par la France en 1954.
La tenue de ces grands rendez-vous des francophones ici à Madagascar était un grand pari difficile à gagner . L'île a dû faire face à une image très dégradée à extérieur après les agressions mortelles de touristes français il y a quelques mois. Une image que les autorités du pays, le ministre du tourisme à leur tête, se sont attelées à redorer lors de leurs interventions.