Selon le résultat du recensement des lémuriens en zone agricole, en 40 ans, le nombre de makis à Mayotte a été divisé par deux.
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On compte aujourd’hui entre 10 000 et 30 000 lémuriens en zone agricole sur l’île aux parfums. Le comptage de l’espèce a duré 3 ans et piloté notamment par la direction de l’environnement et du développement durable du département et Laurent Tarnaud du Muséum national d’histoire naturelle de Paris.
Les raisons de cette baisse du nombre de makis à Mayotte sont multiples. D’abord la surface forestière a diminué de 40% en 20 ans, la forêt étant l’habitat naturel du maki, il doit se diriger désormais vers les zones agricoles pour se nourrir.
Pourtant protégé, le maki est jugé indésirable par les agriculteurs qui n’hésitent pas à les empoisonner pour lutter contre les pertes de production.
Avec ces chiffres, un plan pour la sauvegarde de l’espèce sans pour autant mettre en danger les productions agricoles doit être adopté.
Les raisons de cette baisse du nombre de makis à Mayotte sont multiples. D’abord la surface forestière a diminué de 40% en 20 ans, la forêt étant l’habitat naturel du maki, il doit se diriger désormais vers les zones agricoles pour se nourrir.
Pourtant protégé, le maki est jugé indésirable par les agriculteurs qui n’hésitent pas à les empoisonner pour lutter contre les pertes de production.
Avec ces chiffres, un plan pour la sauvegarde de l’espèce sans pour autant mettre en danger les productions agricoles doit être adopté.