Les élus mahorais victimes de représailles après leurs prises de position sur la crise des expulsions des étrangers.
Les élus de Mayotte, toutes appartenances politiques confondues font l’objet de menaces. C’est une conséquence de la campagne d’expulsions en cours. Ils ont tous soutenus ce "retour à l’Etat de droit". Aucun d’entre eux n’a condamné fermentent les méthodes musclée des villageois.
Certains même se disent prêts à mourir pour soutenir cette cause à l’instar de Bacar ALI BOTO.
Le cabinet de Maître Mansour Kamardine, président de la fédération « Les Républicains » du département a été attaqué a coup de cocktails-Molotovs. Il a affirmé que cela n’a pas entamé sa détermination à soutenir la cause des mahorais qui veulent jouir de leurs biens.
Beaucoup de personnes ont été victimes d’agressions et des voitures sont incendiées tous les soirs. Des appels aux représailles ont été lancés sur les réseaux sociaux Les rumeurs les plus folles avaient circulé, notamment celle qui avait parlé d’une embarcation remplie d’armes en provenance d’Anjouan. Une fausse information qui montre cependant que qu’une panique est entrain de s’installer sur l’île.
Ces menaces d’atteinte à l’intégrité physique des élus mahorais déplacent une bonne fois pour toute la crise des immigrés expulsés de Mayotte, sur le terrain politique.
Même aux années soixante et soixante dix au plus fort de la lutte pour la séparation entre Mayotte et les autres îles de l’archipel des Comores, un tel degré de violence n'a jamais été atteint.
Et pourtant, la France ne peut raisonnablement pas attendre à un appel au calme de la part des autorités comoriennes. Jusqu’à ce jour, la seule intervention fut de rouvrir le port de Moutsamoudou aux bateaux ramenant ses ressortissants expulsés de Mayotte.
De l’autre côté, les familles d’origines comoriennes qui optent pour le départ volontaire sont de plus en plus nombreuses. Le centre de rétention administrative de Pamadzi est prise d’assaut et tous les matins il y a des attroupements d'enfants, de femmes et d’hommes, munis de leurs bagages, prêts à rentrer au pays.
Et pendant ce temps des dizaines d'autres étrangers tentent toujours de rejoindre Mayotte à l'instar de ceux qui étaient dans un kwassa que les villageois de Chiconi ont fait fuir, week-end dernier.
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Certains même se disent prêts à mourir pour soutenir cette cause à l’instar de Bacar ALI BOTO.
Le cabinet de Maître Mansour Kamardine, président de la fédération « Les Républicains » du département a été attaqué a coup de cocktails-Molotovs. Il a affirmé que cela n’a pas entamé sa détermination à soutenir la cause des mahorais qui veulent jouir de leurs biens.
Beaucoup de personnes ont été victimes d’agressions et des voitures sont incendiées tous les soirs. Des appels aux représailles ont été lancés sur les réseaux sociaux Les rumeurs les plus folles avaient circulé, notamment celle qui avait parlé d’une embarcation remplie d’armes en provenance d’Anjouan. Une fausse information qui montre cependant que qu’une panique est entrain de s’installer sur l’île.
Ces menaces d’atteinte à l’intégrité physique des élus mahorais déplacent une bonne fois pour toute la crise des immigrés expulsés de Mayotte, sur le terrain politique.
Même aux années soixante et soixante dix au plus fort de la lutte pour la séparation entre Mayotte et les autres îles de l’archipel des Comores, un tel degré de violence n'a jamais été atteint.
Et pourtant, la France ne peut raisonnablement pas attendre à un appel au calme de la part des autorités comoriennes. Jusqu’à ce jour, la seule intervention fut de rouvrir le port de Moutsamoudou aux bateaux ramenant ses ressortissants expulsés de Mayotte.
De l’autre côté, les familles d’origines comoriennes qui optent pour le départ volontaire sont de plus en plus nombreuses. Le centre de rétention administrative de Pamadzi est prise d’assaut et tous les matins il y a des attroupements d'enfants, de femmes et d’hommes, munis de leurs bagages, prêts à rentrer au pays.
Et pendant ce temps des dizaines d'autres étrangers tentent toujours de rejoindre Mayotte à l'instar de ceux qui étaient dans un kwassa que les villageois de Chiconi ont fait fuir, week-end dernier.
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