Mayotte compte une dizaine de clubs de plongée sous-marine. La gendarmerie nautique, les affaires maritimes, le service de la Jeunesse et des Sports veillent à ce que tout se passe dans les règles, pour la sécurité des plongeurs.
Faire de la plongée sous-marine, cela ne s’improvise pas. Cette activité est considérée comme un sport à risque. Les autorités surveillent de près l’application des règles par les clubs. « Nous contrôlons les diplômes et les qualifications des moniteurs » explique Patrick Bonfils le directeur du service de la Jeunesse et des Sports à Mayotte.
La sécurité du matériel est primordiale. Le bateau, les détendeurs, les bouteilles de plongée surtout doivent être révisées régulièrement pour que les plongeurs respirent un air de qualité. Il faut les ouvrir pour les contrôler. « Avant, il fallait les envoyer à la Réunion ; cela coûtait aussi cher que d’en acheter des neuves. Désormais la requalification des bouteilles est faite ici » affirme l’adjudant Berthaud, de la brigade de gendarmerie nautique.
Un contrôle en mer a été effectué ce mercredi sur la passe en S. Dans un bateau de plongeurs il n’y avait personne, tout le monde était sous l’eau. C’est une infraction. Il faut toujours une présence à bord.
La sécurité du matériel est primordiale. Le bateau, les détendeurs, les bouteilles de plongée surtout doivent être révisées régulièrement pour que les plongeurs respirent un air de qualité. Il faut les ouvrir pour les contrôler. « Avant, il fallait les envoyer à la Réunion ; cela coûtait aussi cher que d’en acheter des neuves. Désormais la requalification des bouteilles est faite ici » affirme l’adjudant Berthaud, de la brigade de gendarmerie nautique.
Un contrôle en mer a été effectué ce mercredi sur la passe en S. Dans un bateau de plongeurs il n’y avait personne, tout le monde était sous l’eau. C’est une infraction. Il faut toujours une présence à bord.