" Etre "gilet jaune" n'est pas une garantie de régularisation ". C'est la petite phrase qui a provoqué l'arrêt des activités des agents de sécurité bénévoles de Kawéni. Une partie d'entre eux est en situation irrégulière.
Le blocage des services étrangers de la préfecture empêche la poursuite des démarches pour ceux qui les entamées. La population craint une reprise des violence sans la présence de ces hommes et femmes qui patrouillent jusqu'à tard dans la nuit pour sécuriser la localité. La question de la situation administrative d'une partie d'entre eux était souvent posée, sans qu'une réponse officielle ne soit donnée.