L’actualité fait état régulièrement des actes de violence, parfois terribles, qui émeuvent la population. Raison pour laquelle, le parquet, le rectorat et l’ARS unissent leur force pour apporter
des explications et des solutions à cette situation.
des explications et des solutions à cette situation.
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A Mayotte, les institutions ont commencé à se pencher sur le sujet des violences subies ou exercées par des enfants et adolescents, dans l’école et autour de l’école. Aujourd’hui, l’éducation nationale, la justice et l’agence régionale de santé mènent un travail conjoint, avec l’objectif de mettre en place, à terme, un observatoire de la violence.
Plusieurs thématiques ont déjà été retenues pour structurer les approches des phénomènes de violences : les violences, qu’elles qu’en soient les racines et les ressorts, dans les rapports adultes-enfants ou entre enfants ; la notion de vengeance qui peut se retrouver dans les luttes inter-villages ; les violences sociales notamment d’appropriation dans un contexte de grande pauvreté.
Une mission confiée à deux personnalités reconnues - Balbine Ollier pour le Rectorat et Salim Mouhoutar pour l’Agence régionale de santé. Ces deux personnalités ont pour mission
La mission, mise en place ce mercredi 5 février 20 , fournira ses recommandations dans un délai de trois mois.
Plusieurs thématiques ont déjà été retenues pour structurer les approches des phénomènes de violences : les violences, qu’elles qu’en soient les racines et les ressorts, dans les rapports adultes-enfants ou entre enfants ; la notion de vengeance qui peut se retrouver dans les luttes inter-villages ; les violences sociales notamment d’appropriation dans un contexte de grande pauvreté.
Une mission confiée à deux personnalités reconnues - Balbine Ollier pour le Rectorat et Salim Mouhoutar pour l’Agence régionale de santé. Ces deux personnalités ont pour mission
- d’identifier et de solliciter les différents interlocuteurs (institutionnels, associatifs, politiques, religieux, …) susceptibles de contribuer à ce projet ;
- de réunir et objectiver les données sur la violence en croisant les sources (entretiens, conseils de discipline, dépôts de plaintes, jugements…) ;
- de comparer ces données avec celles d’autres territoires et de caractériser le sentiment d’insécurité perçu par la population à Mayotte.
La mission, mise en place ce mercredi 5 février 20 , fournira ses recommandations dans un délai de trois mois.