L’association Sea Shepherd a tenu dans une publication Facebook a dénoncé la poursuite des massacres de tortues. Dans son article, l’association qui vise à protéger les écosystèmes marins et la biodiversité pointe du doigt notamment le travail des gardiens du conseil départemental.
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Jeudi matin, une tortue a été retrouvée éventrée sur la plage de moya 1 alors qu’elle était venue pondre. Une situation que dénonce Sea Shepherd France par l’intermédiaire de sa présidente Lamya Essemlali.
Moya 1 est une plage surveillée par les gardiens du conseil départemental, sauf qu’ils sont restés dans leur cabane toute la nuit. Sea Sepherd annonce également que les gardiens ont reçu instruction de leur responsable d’enterrer la tortue sans faire de signalement au REMMAT, le réseau échouages mahorais de mammifères marins et de tortues marines, comme le veut la procédure.
La tortue tuée n’existe donc pas officiellement.
Et ce ne serait pas la première fois que Sea Sepherd constate les manquements des gardiens du conseil départemental. Sur les plages de Charifou sur les villages de Dapani et de M’Bouini, c’est une douzaine de tortues qui a été retrouvée mortes alors que là aussi des gardiens sont censés surveiller les plages.
Moya 1 est une plage surveillée par les gardiens du conseil départemental, sauf qu’ils sont restés dans leur cabane toute la nuit. Sea Sepherd annonce également que les gardiens ont reçu instruction de leur responsable d’enterrer la tortue sans faire de signalement au REMMAT, le réseau échouages mahorais de mammifères marins et de tortues marines, comme le veut la procédure.
La tortue tuée n’existe donc pas officiellement.
Et ce ne serait pas la première fois que Sea Sepherd constate les manquements des gardiens du conseil départemental. Sur les plages de Charifou sur les villages de Dapani et de M’Bouini, c’est une douzaine de tortues qui a été retrouvée mortes alors que là aussi des gardiens sont censés surveiller les plages.