La présidente de l’ACFAV évoque la récente visite d’inspecteurs d’une multitude de ministères : « ils sont venus surtout pour nous écouter, nous avons témoigné sur la réalité de Mayotte ».
Nous sommes responsables de cette jeunesse, il faut la sensibiliser à de bonnes causes. Pour les bonnes actions il faut des récompenses, et pour les mauvaises actions il faut des punitions.
L’ACFAV dispose de 293 lits d’hébergement d’urgence, « on apporte un peu de soulagement, de réconfort. Nous avons des juristes, des psychologues, des assistants sociaux, des conseillers conjugaux… C’est gratuit ».
Nous devons tout faire pour apaiser notre île
conclut-elle.