Jeudi matin, sur le barrage dressé par les élèves sur le rond-point de Doujani, les automobilistes et les motards ont affronté, eux aussi, les manifestants qui leur lançaient des galets.
C’est une nouvelle étape qui a été franchie ce matin sur le barrage de Doujani. Les usagers de la route, venus du sud et du centre de Mayotte en direction de Mamoudzou ont été bloqués par des barrages érigés par des élèves.
Ces derniers exigent des bus scolaires, sauf que, une partie des transporteurs est en grève.
Des actes de violence ont été perpétrés, un motard a été grièvement blessé. Mais cette fois-ci, les propriétaires des véhicules pris au piège, sont descendus pour en découdre contre les agresseurs aux côtés des forces de l’ordre. Il s’en est suivi des échanges de projectiles, cailloux, gaz lacrymogènes, etc.
La bataille a duré de longues heures. C’est la première fois qu’il y a eu une vraie riposte. Cette participation des civiles ne semblait pas déranger les forces de l’ordre.
Il se pose des questions sur l’identité des personnes qui ont érigé les barrages, notamment celui de Doujani. Ils ont harcelé les forces de l’ordre pendant une grande partie de la matinée avant de disparaître dans les ruelles de leur village.
Ces derniers exigent des bus scolaires, sauf que, une partie des transporteurs est en grève.
Des actes de violence ont été perpétrés, un motard a été grièvement blessé. Mais cette fois-ci, les propriétaires des véhicules pris au piège, sont descendus pour en découdre contre les agresseurs aux côtés des forces de l’ordre. Il s’en est suivi des échanges de projectiles, cailloux, gaz lacrymogènes, etc.
La bataille a duré de longues heures. C’est la première fois qu’il y a eu une vraie riposte. Cette participation des civiles ne semblait pas déranger les forces de l’ordre.
« Il est hors de question que nous nous laissions faire. Nous avons trop attendu. »
Il se pose des questions sur l’identité des personnes qui ont érigé les barrages, notamment celui de Doujani. Ils ont harcelé les forces de l’ordre pendant une grande partie de la matinée avant de disparaître dans les ruelles de leur village.