- Vols sous la menace d'une arme dans un établissement scolaire.
-Agression à l’arme blanche.
-Enlèvement d’un nourrisson.
-Différend familial suivi de violences sur agents de la force publique.
-Agression à l’arme blanche.
-Enlèvement d’un nourrisson.
-Différend familial suivi de violences sur agents de la force publique.
Vols sous la menace d'une arme dans un établissement scolaire.
Vendredi 1er septembre, plusieurs événements ont lieu dans l'établissement scolaire de Tsimkoura et aux abords. Vers 9h30, un groupe de quatre individus tente à deux reprises de s’introduire dans le collège. Ils renoncent la première fois lorsqu’ils aperçoivent la surveillante lancer un appel depuis son talkie-walkie. Puis ils sont refoulés sans violence par les surveillants à l’occasion de leur seconde tentative.
Entre 11h et 11h30, un collégien est victime du vol de sa chaîne et de ses chaussures, commis par le même groupe de jeunes. Une bagarre éclate. Des professeurs et des surveillants interviennent pour séparer les protagonistes. Des surveillants reçoivent des coups et sont menacés de mort par les quatre jeunes, dont l'un brandit un tournevis. Deux d’entre eux sont identifiés et découverts porteurs des objets dérobés dans le lycée professionnel voisin, au sein duquel ils sont scolarisés.
Ils font l’objet d’une expulsion scolaire immédiate et d’une procédure pour les faits commis.
Placés en garde à vue le samedi 2 septembre à 8h30, les deux délinquants reconnaissent les faits. Les perquisitions permettent de découvrir les vêtements qu’ils portaient à l’occasion de l’agression.
Ils sont remis en liberté dans l’attente de l’identification d’un troisième individu.
L’enquête est diligentée par la BTA Mzouazia.
Agression à l’arme blanche
Jeudi 31 août vers 4h50, à Dzaoudzi, à la suite d’un conflit de voisinage, une bagarre éclate entre deux individus. L’un des deux porte alors 4 coups de couteau à l’autre. Blessée, la victime est prise en charge par les sapeurs-pompiers puis évacuée vers l’hôpital de Dzaoudzi. Son pronostic vital n'est pas engagé. L'auteur est interpellé par la patrouille de Pamandzi et placé en garde à vue.
Samedi 2 septembre, le mis en cause, ayant sollicité un délai pour préparer sa défense avant sa comparution immédiate, est placé en détention provisoire.
L'enquête est diligentée par la BTA de Pamandzi.
Enlèvement d’un nourrisson
Samedi 2 septembre vers 19h30 à Chirongui, la gendarmerie est informée de l'enlèvement d'un nourrisson de 5 mois. Alors que sa mère l’avait confié à un couple d'amis pendant quelques heures, un homme s'est introduit dans l'habitation et est reparti avec le bébé. La femme fournit à la gendarmerie l'identité du suspect, une connaissance qui n'est pas le père de l'enfant.
Vers 20h00, la sœur de l’auteur de l’enlèvement informe la gendarmerie que le nourrisson se trouve à son domicile à Mamoudzou (ZPN). L'enfant est finalement recueilli par la brigade locale. Examiné au centre hospitalier, il ne présente aucune trace de maltraitance.
L’auteur du rapt se présente de lui-même à l'hôpital. Il est placé en garde à vue.
L’enquête est confiée à la brigade de Mzouazia.
Différend familial suivi de violences sur agents de la force publique
Dimanche 3 septembre, une patrouille de trois gendarmes de la brigade de Pamandzi intervient pour des violences familiales. A leur arrivée, l’auteur prend la fuite. Rattrapé, il se rebelle avant d’être maîtrisé au sol. La victime, la compagne de l’individu, asperge de pétrole les trois militaires puis assène un violent coup de casserole au niveau de la face de son compagnon, qui perd immédiatement connaissance. Interpellée, elle est placée en garde à vue et présente un taux d’alcoolémie de 0,60 mg/l.
Vendredi 1er septembre, plusieurs événements ont lieu dans l'établissement scolaire de Tsimkoura et aux abords. Vers 9h30, un groupe de quatre individus tente à deux reprises de s’introduire dans le collège. Ils renoncent la première fois lorsqu’ils aperçoivent la surveillante lancer un appel depuis son talkie-walkie. Puis ils sont refoulés sans violence par les surveillants à l’occasion de leur seconde tentative.
Entre 11h et 11h30, un collégien est victime du vol de sa chaîne et de ses chaussures, commis par le même groupe de jeunes. Une bagarre éclate. Des professeurs et des surveillants interviennent pour séparer les protagonistes. Des surveillants reçoivent des coups et sont menacés de mort par les quatre jeunes, dont l'un brandit un tournevis. Deux d’entre eux sont identifiés et découverts porteurs des objets dérobés dans le lycée professionnel voisin, au sein duquel ils sont scolarisés.
Ils font l’objet d’une expulsion scolaire immédiate et d’une procédure pour les faits commis.
Placés en garde à vue le samedi 2 septembre à 8h30, les deux délinquants reconnaissent les faits. Les perquisitions permettent de découvrir les vêtements qu’ils portaient à l’occasion de l’agression.
Ils sont remis en liberté dans l’attente de l’identification d’un troisième individu.
L’enquête est diligentée par la BTA Mzouazia.
Agression à l’arme blanche
Jeudi 31 août vers 4h50, à Dzaoudzi, à la suite d’un conflit de voisinage, une bagarre éclate entre deux individus. L’un des deux porte alors 4 coups de couteau à l’autre. Blessée, la victime est prise en charge par les sapeurs-pompiers puis évacuée vers l’hôpital de Dzaoudzi. Son pronostic vital n'est pas engagé. L'auteur est interpellé par la patrouille de Pamandzi et placé en garde à vue.
Samedi 2 septembre, le mis en cause, ayant sollicité un délai pour préparer sa défense avant sa comparution immédiate, est placé en détention provisoire.
L'enquête est diligentée par la BTA de Pamandzi.
Enlèvement d’un nourrisson
Samedi 2 septembre vers 19h30 à Chirongui, la gendarmerie est informée de l'enlèvement d'un nourrisson de 5 mois. Alors que sa mère l’avait confié à un couple d'amis pendant quelques heures, un homme s'est introduit dans l'habitation et est reparti avec le bébé. La femme fournit à la gendarmerie l'identité du suspect, une connaissance qui n'est pas le père de l'enfant.
Vers 20h00, la sœur de l’auteur de l’enlèvement informe la gendarmerie que le nourrisson se trouve à son domicile à Mamoudzou (ZPN). L'enfant est finalement recueilli par la brigade locale. Examiné au centre hospitalier, il ne présente aucune trace de maltraitance.
L’auteur du rapt se présente de lui-même à l'hôpital. Il est placé en garde à vue.
L’enquête est confiée à la brigade de Mzouazia.
Différend familial suivi de violences sur agents de la force publique
Dimanche 3 septembre, une patrouille de trois gendarmes de la brigade de Pamandzi intervient pour des violences familiales. A leur arrivée, l’auteur prend la fuite. Rattrapé, il se rebelle avant d’être maîtrisé au sol. La victime, la compagne de l’individu, asperge de pétrole les trois militaires puis assène un violent coup de casserole au niveau de la face de son compagnon, qui perd immédiatement connaissance. Interpellée, elle est placée en garde à vue et présente un taux d’alcoolémie de 0,60 mg/l.