Pour Magalie Tingale, journaliste, rédactrice en chef adjointe (Radio Djido) et organisatrice de ce 3 ème sommet, il va sortir de cette réunion de trois jours des actions concrètes.
L'objectif affiché de ce 3ème sommet était de responsabiliser les médias océaniens face aux défis institutionnels, économiques et sociaux qui s'annoncent pour la région. Mais il faut aussi que les Etats d'Océanie reconnaissent la nécessité d'une presse libre, non inféodée et pas seulement considérée comme une arme de propagande pour les différents gouvernements.
Une ancienne Présidente de la PINA, en froid avec l'organisation qu'elle a dirigée pendant 7 ans, a profité de sa présence à Nouméa pour rappeler à ses membres qu'il était un devoir pour l'organisation de défendre une liberté des médias souvent bafouée en Océanie.
Ce 3 ème sommet des médias océaniens n'aurait sans doute jamais vu le jour en Nouvelle-Calédonie sans la volonté personnelle de l'actuel Président de la PINA Moses Steevens. A plusieurs reprises, il a affirmé sa volonté d'ouvrir davantage cette organisation aux médias francophones du Pacifique. Et donc à la Nouvelle-Calédonie. Mais le choix de Nouméa s'explique aussi par l'imminence d'échéances électorales décisives, aussi bien pour la Nouvelle-Calédonie que pour Fiji.
Il en a d'ailleurs beaucoup question au cours de ces trois journées passées à la CPS.
L'objectif affiché de ce 3ème sommet était de responsabiliser les médias océaniens face aux défis institutionnels, économiques et sociaux qui s'annoncent pour la région. Mais il faut aussi que les Etats d'Océanie reconnaissent la nécessité d'une presse libre, non inféodée et pas seulement considérée comme une arme de propagande pour les différents gouvernements.
Une ancienne Présidente de la PINA, en froid avec l'organisation qu'elle a dirigée pendant 7 ans, a profité de sa présence à Nouméa pour rappeler à ses membres qu'il était un devoir pour l'organisation de défendre une liberté des médias trop souvent bafouée en Océanie.