Le gouvernement veut booster l'adoption du plan communal de sauvegarde par les communes

le siège du gouvernement de Nouvelle-Calédonie
Le plan communal de sauvegarde, le PCS, est obligatoire sur le Caillou. Il permet  de recenser et d’analyser les risques à l’échelle communale. Sauf qu’à ce jour, seule une petite dizaine de communes se sont dotées de cet outil.

Le maire représente le maillon essentiel du dispositif de la sécurité civile pour l'alerte, l'information et la protection des populations. Le plan communal de sauvegarde, le PCS, est donc le premier niveau d'organisation. Problème, seule une dizaine de communes a déjà adhéré à ce plan de prévention des risques. Pour la vingtaine de communes restantes, le gouvernement a proposé au Congrès de prendre une délibération pour leur accompagnement - notamment financier, avec une enveloppe d'environ 40 millions de francs sur les deux ou trois prochaines années.

Depuis le transfert de la sécurité civile à la Nouvelle-Calédonie en janvier 2014, le président du gouvernement est informé de l'avancement du plan de sauvegarde, dans chacune des 33 communes du territoire. 

Le reportage de Malia-Losa Falelavaki

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