Les services australiens viennent de rendre public leur rapport concernant la mort du Français David Luc Monlun en mai 2011. Les circonstances de sa mort ont été qualifiées de "suspectes".
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David Luc Monlun, un millionnaire Français originaire de Bordeaux et installé à Sydney depuis 1996, avait été retrouvé mort le 30 mai 2011, dans un appartement. D'après les conclusions de l'autopsie, il serait décédé suite à l'ingestion d'un mélange toxique de drogues de synthèse.
Après une enquête qui a duré plus de quatre ans, les services de l'Etat de Nouvelle-Galles-du-Sud, en charge du dossier, ont estimé que les circonstances de la mort du Français étaient "suspectes". Selon le rapport d'enquête rendu public, le dossier a été transmis le 4 août dernier au service de police australien, en charge des meurtres non élucidés.
Toujours d'après le rapport, la victime aurait pu succomber à une overdose accidentelle ou aurait pu se voir administrer "certaines drogues, provoquant sa mort".
La petite amie du millionnaire et un ami de cette dernière sont les deux dernières personnes à avoir vu la victime et restent "des personnes d'intérêt" dans le cadre de l'enquête. Le rapport ajoute que ces deux personnes ont été enregistrées par des caméras de surveillance alors qu'elles quittaient l'appartement, tandis qu'on pouvait voir la victime sur le pas de la porte, en train de chanceler.
Après une enquête qui a duré plus de quatre ans, les services de l'Etat de Nouvelle-Galles-du-Sud, en charge du dossier, ont estimé que les circonstances de la mort du Français étaient "suspectes". Selon le rapport d'enquête rendu public, le dossier a été transmis le 4 août dernier au service de police australien, en charge des meurtres non élucidés.
Toujours d'après le rapport, la victime aurait pu succomber à une overdose accidentelle ou aurait pu se voir administrer "certaines drogues, provoquant sa mort".
La petite amie du millionnaire et un ami de cette dernière sont les deux dernières personnes à avoir vu la victime et restent "des personnes d'intérêt" dans le cadre de l'enquête. Le rapport ajoute que ces deux personnes ont été enregistrées par des caméras de surveillance alors qu'elles quittaient l'appartement, tandis qu'on pouvait voir la victime sur le pas de la porte, en train de chanceler.