A Poya, en Nouvelle-Calédonie, les différents services chargés de la sécurité coopèrent autour d'actions pour lutter contre un des maux endémiques de la Nouvelle-Calédonie : le braconnage.
"En ce moment, on est en recrudescence de faits de braconnage, sur le secteur de Poya, aussi bien en Province Nord qu'en Province Sud", explique Sylvesre Newland, commandant de brigade adjoint à Poya.
Gendarmes du Nord, gardes républicains et gardes de la Province Sud sont ainsi à pied d'oeuvre pour mener une opération conjointe anti-braconnage. A la tombée de la nuit, 25 personnes et deux embarcations nautiques sont mobilisées.
L'union des différents services permet une plus grande efficacité lors des interventions. En effet, par exemple si le gendarme a lui plus de pouvoir en cas d'infraction, le garde nature connait la réglementation liée à la pêche.
"Le délit pénal, c'est s'il y a une espèce protégée qui est pêchée", explique un garde nature. "Si le quota de pêche est supérieur aux 40 kilos, applicables dans le Sud, c'est un délit aussi".
L'action n'est pas seulement originale de part les différents unités qu'elles rassemblement. Une autre originalité résident dans le fait que la surveillance ne se fait pas seulement sur l'eau, mais est aussi terrestre. Des gendarmes arrêtent ainsi des véhicules, à la recherche d'armes et de gibier fraîchement abattu.
"Le but premier, c'est du flagrant délit", explique le capitaine Laurent Cosmao. "ll y a un deuxième volet qui n'est pas négligeable non plus, c'est la dissuasion".
Retrouvez le reportage en images de David Sigal pour NC1ère :
Gendarmes du Nord, gardes républicains et gardes de la Province Sud sont ainsi à pied d'oeuvre pour mener une opération conjointe anti-braconnage. A la tombée de la nuit, 25 personnes et deux embarcations nautiques sont mobilisées.
L'union des différents services permet une plus grande efficacité lors des interventions. En effet, par exemple si le gendarme a lui plus de pouvoir en cas d'infraction, le garde nature connait la réglementation liée à la pêche.
"Le délit pénal, c'est s'il y a une espèce protégée qui est pêchée", explique un garde nature. "Si le quota de pêche est supérieur aux 40 kilos, applicables dans le Sud, c'est un délit aussi".
L'action n'est pas seulement originale de part les différents unités qu'elles rassemblement. Une autre originalité résident dans le fait que la surveillance ne se fait pas seulement sur l'eau, mais est aussi terrestre. Des gendarmes arrêtent ainsi des véhicules, à la recherche d'armes et de gibier fraîchement abattu.
"Le but premier, c'est du flagrant délit", explique le capitaine Laurent Cosmao. "ll y a un deuxième volet qui n'est pas négligeable non plus, c'est la dissuasion".
Retrouvez le reportage en images de David Sigal pour NC1ère :