Invité sur le plateau du JT de 19h de NC1ère, Alexandre Maperi, directeur du SIVOM VKP, revient sur la gestion de l'eau sur la zone VKP.
Alexandre Maperi, directeur du SIVOM VKP, était l'invité de Gilbert Assawa sur le plateau du JT de 19h (11/08/2015). En Province Nord, le SIVOM VKP est compétent pour le traitement des déchets et de l'eau. Il revient sur ces deux points.
Dans la zone VKP, le montant des factures d'eau est souvent critiqué par les usagers.
"Il y a une tarification qui date de 2013, qui a augmenté de façon substantielle", explique Alexandre Maperi. "Actuellement, c'est vrai qu'au niveau du prix de l'eau, nous sommes passés par un audit qui nous a permis de dire que le mètre cube sur la zone VKP n'est pas le plus cher du territoire. C'est même l'un des plus avantageux."
Les usagers se plaignent aussi du fait que personne ne passe physiquement pour effectuer les relevés des compteurs.
"Cela va changer, car il faut savoir que c'est maintenant une obligation", poursuit Alexandre Maperi. "L'année dernière, nous étions sur une base de deux relevés. A partir de cette année, nous avons demandé à ce qu'il y ait une relève physique tous les trimestres."
Sur la question de savoir si l'on peut craindre pour la suffisance des ressources en eau, Alexandre Maperi est rassurant, tout en soulignant cependant la question du stockage.
"La ressource normalement est suffisante", explique Alexandre Maperi. "Nous avons un obstacle quand même, c'est que nous sommes limités par le stockage. Le SIVOM a aussi à sa charge les constructions de réservoirs. C'est pour ça que nous devrons nous attarder dans les années qui viennent contre le gaspillage."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien avec Alexandre Maperi, conduit par Gilbert Assawa, pour NC1ère :
Dans la zone VKP, le montant des factures d'eau est souvent critiqué par les usagers.
"Il y a une tarification qui date de 2013, qui a augmenté de façon substantielle", explique Alexandre Maperi. "Actuellement, c'est vrai qu'au niveau du prix de l'eau, nous sommes passés par un audit qui nous a permis de dire que le mètre cube sur la zone VKP n'est pas le plus cher du territoire. C'est même l'un des plus avantageux."
Les usagers se plaignent aussi du fait que personne ne passe physiquement pour effectuer les relevés des compteurs.
"Cela va changer, car il faut savoir que c'est maintenant une obligation", poursuit Alexandre Maperi. "L'année dernière, nous étions sur une base de deux relevés. A partir de cette année, nous avons demandé à ce qu'il y ait une relève physique tous les trimestres."
Sur la question de savoir si l'on peut craindre pour la suffisance des ressources en eau, Alexandre Maperi est rassurant, tout en soulignant cependant la question du stockage.
"La ressource normalement est suffisante", explique Alexandre Maperi. "Nous avons un obstacle quand même, c'est que nous sommes limités par le stockage. Le SIVOM a aussi à sa charge les constructions de réservoirs. C'est pour ça que nous devrons nous attarder dans les années qui viennent contre le gaspillage."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien avec Alexandre Maperi, conduit par Gilbert Assawa, pour NC1ère :