Mercredi matin, l'USOENC a souhaité réagir mercredi matin sur l'affaire Tupocal, qui dure depuis maintenant plusieurs mois. L'affaire concerne le licenciement, jugé abusif, d'un employé de l'entreprise au début de l'année.
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En février dernier, un salarié de l'entreprise Tupocal Echappements à Ducos était licencié, officiellement pour faute grave. Un licenciement injuste et abusif selon l'Union des syndicats des ouvriers et employés de Nouvelle-Calédonie (USOENC), qui a convoqué une conférence de presse mercredi matin.
L'employé licencié travaillait au sein de l'entreprise depuis trente ans. En avril dernier, deux mois après son licenciement, il a touché 330.000 francs CFP pour solde de tout compte. L'USOENC a demandé à Tupocal 3 millions de francs CFP d'indemnités de départ.
Selon le syndicat, l'employeur prélevait sur les salaires les cotisations pour la mutuelle. "Ce salarié s'est retrouvé malade et à la mutuelle, on lui a dit qu'il n'était plus adhérent", poursuit Didier Guénant-Jeanson.
Toujours selon l'USOENC, l'employé aurait été licencié après avoir fait appel au syndicat pour le défendre.
"Ce monsieur [ndlr: le gérant de l'entreprise Tupocal Echappements] a décidé de mettre son entreprise en difficulté il y a un an, en licenciant d'une manière totalement illégale un salarié", a déclaré Didier Guénant-Jeanson, secrétaire général de l'USOENC.
Ecoutez la réaction de Didier Guénant-Jeanson au micro de William Lecren pour NC1ère La Radio :
Le syndicat, qui demande depuis plusieurs mois une rencontre avec le dirigeant de l'entreprise, a décidé de poursuive le mouvement tant que ce dernier ne se mettrait pas à la table des négociations. Depuis début mars, des personnes sympathisantes de l’USOENC bloquent l'accès à l'entreprise Tupocal Echappements.
L'employé licencié travaillait au sein de l'entreprise depuis trente ans. En avril dernier, deux mois après son licenciement, il a touché 330.000 francs CFP pour solde de tout compte. L'USOENC a demandé à Tupocal 3 millions de francs CFP d'indemnités de départ.
Selon le syndicat, l'employeur prélevait sur les salaires les cotisations pour la mutuelle. "Ce salarié s'est retrouvé malade et à la mutuelle, on lui a dit qu'il n'était plus adhérent", poursuit Didier Guénant-Jeanson.
Toujours selon l'USOENC, l'employé aurait été licencié après avoir fait appel au syndicat pour le défendre.
"Ce monsieur [ndlr: le gérant de l'entreprise Tupocal Echappements] a décidé de mettre son entreprise en difficulté il y a un an, en licenciant d'une manière totalement illégale un salarié", a déclaré Didier Guénant-Jeanson, secrétaire général de l'USOENC.
Ecoutez la réaction de Didier Guénant-Jeanson au micro de William Lecren pour NC1ère La Radio :
ITW ISOENC 07/11/15
Le syndicat, qui demande depuis plusieurs mois une rencontre avec le dirigeant de l'entreprise, a décidé de poursuive le mouvement tant que ce dernier ne se mettrait pas à la table des négociations. Depuis début mars, des personnes sympathisantes de l’USOENC bloquent l'accès à l'entreprise Tupocal Echappements.