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Le Partenariat transpacifique, un vaste accord de libre-échange multilatéral, va pouvoir entrer en vigueur cette année malgré le retrait des Etats-Unis, l'Australie ayant ratifié le texte mercredi.
Le Premier ministre autralien, Scott Morrison, a annoncé l'approbation par son gouvernement de cette entente commerciale entre 11 pays, anciennement appelée TPP.
"L'Australie est le sixième pays à procéder à cette ratification, ce qui permet à ce partenariat d'entrer en application le 30 décembre de cette année", s'est félicité M. Morrison.
Avaient déjà signé auparavant le Japon, le Canada, la Nouvelle-Zélande, Singapour et le Mexique.
Le premier train de baisse de taxes dans le cadre de ce pacte débutera dans 60 jours, le 30 décembre, et le second le 1er janvier 2019 selon le ministre du Commerce de Nouvelle-Zélande, David Parker, qui a dit "espérer d'autres pays signataires", faisant référence aux cinq derniers que sont Brunei, le Chili, la Malaisie, le Pérou et le Vietnam.
Représentant au moins 15% du PIB mondial et liant quelque 500 millions de personnes, l'accord rebaptisé Partenariat transpacifique global et progressiste (CPTPP pour son sigle anglais) est jugé stratégique par les pays qui ont poursuivi sa promotion malgré le départ des Etats-Unis.
Barack Obama avait porté cet accord de libre-échange comme contrepoids à l'influence croissante de la Chine. Mais Donald Trump l'avait abandonné après son élection à la Maison Blanche.
Le Premier ministre autralien, Scott Morrison, a annoncé l'approbation par son gouvernement de cette entente commerciale entre 11 pays, anciennement appelée TPP.
"L'Australie est le sixième pays à procéder à cette ratification, ce qui permet à ce partenariat d'entrer en application le 30 décembre de cette année", s'est félicité M. Morrison.
Avaient déjà signé auparavant le Japon, le Canada, la Nouvelle-Zélande, Singapour et le Mexique.
Le premier train de baisse de taxes dans le cadre de ce pacte débutera dans 60 jours, le 30 décembre, et le second le 1er janvier 2019 selon le ministre du Commerce de Nouvelle-Zélande, David Parker, qui a dit "espérer d'autres pays signataires", faisant référence aux cinq derniers que sont Brunei, le Chili, la Malaisie, le Pérou et le Vietnam.
Représentant au moins 15% du PIB mondial et liant quelque 500 millions de personnes, l'accord rebaptisé Partenariat transpacifique global et progressiste (CPTPP pour son sigle anglais) est jugé stratégique par les pays qui ont poursuivi sa promotion malgré le départ des Etats-Unis.
Barack Obama avait porté cet accord de libre-échange comme contrepoids à l'influence croissante de la Chine. Mais Donald Trump l'avait abandonné après son élection à la Maison Blanche.