A l'occasion de la semaine du numérique, des ateliers de sensibilisation aux dangers du web sont organisés dans tout le territoire.
•
Internet, un formidable outil mais pas sans danger. C'est le message préventif que tentent de faire passer de nombreux animateurs numériques auprès des adolescents des maisons de quartier du Caillou.
Si le web est devenu une nécessité sociétale, il est également à manier avec précaution pour éviter les drames. Ainsi, un atelier était organisé à la maison de quartier de Rivière-salée ce mercredi après-midi dans le but d'armer les adolescents pour faire face à différentes situations de leur quotidien, mais aussi de les informer des sanctions encourues en cas de diffusion d'images violentes en ligne.
Un atelier qui a également tenté de sensibiliser les jeunes aux dangers de l'addiction aux réseaux sociaux. Naïda, 18 ans, avoue que son utilisation excessive de Facebook génère parfois un manque de concentration. "Je suis un peu moins motivée et moins concentrée au travail. Je suis toujours sur les réseaux sociaux, et c'est très addictif."
Pour Angela M’Boueri Travouillon, membre de la cellule économie numérique du gouvernement à l’origine de la rencontre, les parents ont un rôle majeur à jouer. "On a trop tendance à laisser les enfants seuls devant les écrans en pensant qu'il n'y a aucun danger. Mais non! Donc plus on commence tôt la prévention, mieux c'est. Les parents doivent être attentifs à ce qui se passe derrière l'écran car ça va tellement vite et les enfants sont tellement à l'aise... qu'il ne faut pas rater le coche."
À Rivière-salée, les échanges se sont clôturés avec un quizz informatif. D'autres ateliers du même type sont ouverts à tous, les mercredis et vendredis après-midi.
Le reportage de Natacha Cognard et Claude Lindor :
Certaines publications passibles de sanctions
Si le web est devenu une nécessité sociétale, il est également à manier avec précaution pour éviter les drames. Ainsi, un atelier était organisé à la maison de quartier de Rivière-salée ce mercredi après-midi dans le but d'armer les adolescents pour faire face à différentes situations de leur quotidien, mais aussi de les informer des sanctions encourues en cas de diffusion d'images violentes en ligne.
On en apprend sur le happy slapping, tout ce qui est filmé et publié sur internet alors que c'est interdit genre les bagarres. Et ce qu'on risque si on le fait. Pour les vidéos par exemple, on a appris que si on filme (des bagarres ndlr), et qu'on les met sur internet, on risque trois ans de prison et cinq millions de francs d'amende. Il y a beaucoup de vidéos du genre sur internet en Nouvelle-Calédonie!
- Andrew, 19 ans
Facebook, une drogue
Un atelier qui a également tenté de sensibiliser les jeunes aux dangers de l'addiction aux réseaux sociaux. Naïda, 18 ans, avoue que son utilisation excessive de Facebook génère parfois un manque de concentration. "Je suis un peu moins motivée et moins concentrée au travail. Je suis toujours sur les réseaux sociaux, et c'est très addictif."
Sensibiliser les plus petits, une urgence
Pour Angela M’Boueri Travouillon, membre de la cellule économie numérique du gouvernement à l’origine de la rencontre, les parents ont un rôle majeur à jouer. "On a trop tendance à laisser les enfants seuls devant les écrans en pensant qu'il n'y a aucun danger. Mais non! Donc plus on commence tôt la prévention, mieux c'est. Les parents doivent être attentifs à ce qui se passe derrière l'écran car ça va tellement vite et les enfants sont tellement à l'aise... qu'il ne faut pas rater le coche."
À Rivière-salée, les échanges se sont clôturés avec un quizz informatif. D'autres ateliers du même type sont ouverts à tous, les mercredis et vendredis après-midi.
Le reportage de Natacha Cognard et Claude Lindor :