Deux jours après le meurtre d'une jeune Britannique dans une auberge de jeunesse du Queensland, l'enquête avance. Le suspect, un Français, a hurlé « Allah Akbar » en poignardant sa victime. Mais la piste terroriste est de moins en moins convaincante. Il s'agirait bel et bien d'un crime passionnel.
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D'après ses amis, Smaïl Ayad, 29 ans, était tombé fou amoureux de la jeune Britannique, Mia Ayliffe-Chung, âgée de 21 ans, au point de dire à tout le monde autour de lui: « Nous allons bientôt nous marier ». Mais ses sentiments n'étaient pas payés de retour par la routarde britannique.
Smaïl Ayad n'aurait pas supporté non plus de découvrir que sa belle avait posé pour des photos osées, dans un magazine. Ce serait donc la jalousie qui aurait déclenché la pulsion de meurtre du jeune Français.
Mardi soir donc, au Shelley's Backpacker, cette auberge de jeunesse de Home Hill où ils séjournaient, dans le Queensland, le jeune Français enragé a pris un couteau et frappé la jeune femme. Blessée, elle a réussi à se réfugier dans une salle de bain, avec l'aide un autre routard anglais, qui a tenté de la protéger, mais que Smaïl Ayad aurait très grièvement blessé, à l'oeil, à la tête, au torse, avant d'achever Mia Ayliffe-Chung.
« Allah akbar » et la Marseillaise
D'après les témoins, Smaïl Ayad a hurlé « Allah akbar » en poignardant ses victimes, puis une deuxième fois quand les policiers sont venus l'arrêter. Mais la piste du meurtre motivé par l'extrémisme islamique est donc de moins en moins probable. Selon la trentaine de témoins, le meurtrier présumé aurait aussi chanté la Marseillaise. Et un routard français présent dans l'auberge a présié au quotidien local "The Townsville Bulletin", que Smaïl Ayad avait hurlé des propos incohérents en français pendant tout le drame. Il pourrait avoir pris de l'alcool ou des drogues ce soir-là. De toute façon, les autorités australiennes ont mis Smaïl Ayad en examen pour meurtre, et non pour acte terroriste.
Smaïl Ayad n'aurait pas supporté non plus de découvrir que sa belle avait posé pour des photos osées, dans un magazine. Ce serait donc la jalousie qui aurait déclenché la pulsion de meurtre du jeune Français.
Mardi soir donc, au Shelley's Backpacker, cette auberge de jeunesse de Home Hill où ils séjournaient, dans le Queensland, le jeune Français enragé a pris un couteau et frappé la jeune femme. Blessée, elle a réussi à se réfugier dans une salle de bain, avec l'aide un autre routard anglais, qui a tenté de la protéger, mais que Smaïl Ayad aurait très grièvement blessé, à l'oeil, à la tête, au torse, avant d'achever Mia Ayliffe-Chung.
« Allah akbar » et la Marseillaise
D'après les témoins, Smaïl Ayad a hurlé « Allah akbar » en poignardant ses victimes, puis une deuxième fois quand les policiers sont venus l'arrêter. Mais la piste du meurtre motivé par l'extrémisme islamique est donc de moins en moins probable. Selon la trentaine de témoins, le meurtrier présumé aurait aussi chanté la Marseillaise. Et un routard français présent dans l'auberge a présié au quotidien local "The Townsville Bulletin", que Smaïl Ayad avait hurlé des propos incohérents en français pendant tout le drame. Il pourrait avoir pris de l'alcool ou des drogues ce soir-là. De toute façon, les autorités australiennes ont mis Smaïl Ayad en examen pour meurtre, et non pour acte terroriste.