Des recherches sont menées depuis plusieurs années en Nouvelle-Calédonie sur des plantes hyperaccumultarices de métaux. Elles absorbent de fortes quantités de nickel ou de manganèse. Une technologie qui pourrait avoir de l’avenir.
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Si le développement de la Nouvelle Calédonie est étroitement lié à l'extraction minière, des chercheurs pensent déjà à l'après-nickel.
Des plantes endémiques présentent des vertus qui pourraient bien créer une nouvelle activité économique dans les anciennes mines.
Ce sont les plantes hyperaccumulatrices de métaux.
Depuis 4 ans la SLN s'est associée au CNRS et à l'Institut Agronomique Néo-Calédonien qui mènent ces recherches.
KNS aussi se penche depuis peu sur cette nouvelle technologie.
Ces plantes permettent d'une part de dépolluer les sols des anciennes mines et permettre ainsi une meilleure revégétalisation.
D'autre part, une industrie pourrait se mettre progressivement en place avec la fabrication de catalyseurs à partir des feuilles de ces plantes, à destination d'insdustries chimiques, par exemple dans le domaine de la cosmétique ou de la pharmacologie.
Ces plantes permettent d'une part de dépolluer les sols des anciennes mines et permettre ainsi une meilleure revégétalisation.
D'autre part, une industrie pourrait se mettre progressivement en place avec la fabrication de catalyseurs à partir des feuilles de ces plantes, à destination d'insdustries chimiques, par exemple dans le domaine de la cosmétique ou de la pharmacologie.
Le reportage de David Sigal
Pour en savoir plus sur la phytoextraction, c'est ici et ici