La 8ème cérémonie de remise des prix des "Talents de l'Outre-mer", organisée par l’association Casodom s'est déroulée le vendredi 13 décembre à Paris, en présence d'Annick Girardin, la ministre des Outre-mer. Cette promotion mettait en valeur 45 jeunes lauréats de talent venant de tout l'Outre-mer.
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Elle s'appelle Medjo Wahuzue et lui se nomme Alexandre Erre. Ces deux jeunes calédoniens ont fièrement reçu un prix d'excellence pour leurs parcours : le prix « Talents Outre-Mer ».
À tout juste 27 ans, Medjo a été récompensée dans la catégorie « Grandes écoles/universités » pour avoir réalisé un mémoire sur « l’art de la paix, construction d’un dialogue apaisé au lendemain du référendum 2018 ». Elle détient deux Masters 2 en droit international Paris Saclay, l’un spécialisé en diplomatie et négociations stratégiques, l’autre en droit public obtenu avec la mention très bien. La jeune lauréate se réjouit de cette distinction et plus généralement de la présence des femmes ultramarines dans le palmarès des ces talents d’outre-mer.
Écoutez sa réaction au micro de Mohamed Errami, d'Outre-mer 1ère.
Un autre calédonien a reçu ce même prix, cette fois dans la catégorie « Arts ». Alexandre Erre est un artiste plasticien de 29 ans. Le jeune homme a grandi en Nouvelle-Calédonie avant d’intégrer l’École Supérieure d’Art et Design de Grenoble, où il a obtenu son diplôme national d’Arts Plastiques puis à l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy, où il sort fièrement avec un diplôme national supérieur d’expression plastique avec mention. Alexandre Erre s’exprime à travers l’utilisation d’installations, de sculptures mais aussi de vidéos et de photographies. Basé à Paris, il présente de nombreuses expositions et s’investit dans le milieu culturel calédonien.
La cérémonie a distingué vingt lauréats dans la catégorie « Jeunes Talents », vingt-quatre dans la catégorie « Talents Confirmés » et une mention d’encouragement. Depuis le lancement de cette opération en 2006, 231 « Talents de l’Outre-mer » ont été primés. Cette cérémonie consiste à mettre en valeur et à récompenser de jeunes talents émergents et confirmés, qu'ils soient étudiants ou en situation professionnelle et qui ont embrassé des filières hautement sélectives ou eu un parcours professionnel atypique.
À tout juste 27 ans, Medjo a été récompensée dans la catégorie « Grandes écoles/universités » pour avoir réalisé un mémoire sur « l’art de la paix, construction d’un dialogue apaisé au lendemain du référendum 2018 ». Elle détient deux Masters 2 en droit international Paris Saclay, l’un spécialisé en diplomatie et négociations stratégiques, l’autre en droit public obtenu avec la mention très bien. La jeune lauréate se réjouit de cette distinction et plus généralement de la présence des femmes ultramarines dans le palmarès des ces talents d’outre-mer.
Écoutez sa réaction au micro de Mohamed Errami, d'Outre-mer 1ère.
Medjo Wahuzue
Alexandre Erre récompensé
Un autre calédonien a reçu ce même prix, cette fois dans la catégorie « Arts ». Alexandre Erre est un artiste plasticien de 29 ans. Le jeune homme a grandi en Nouvelle-Calédonie avant d’intégrer l’École Supérieure d’Art et Design de Grenoble, où il a obtenu son diplôme national d’Arts Plastiques puis à l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy, où il sort fièrement avec un diplôme national supérieur d’expression plastique avec mention. Alexandre Erre s’exprime à travers l’utilisation d’installations, de sculptures mais aussi de vidéos et de photographies. Basé à Paris, il présente de nombreuses expositions et s’investit dans le milieu culturel calédonien.
La cérémonie a distingué vingt lauréats dans la catégorie « Jeunes Talents », vingt-quatre dans la catégorie « Talents Confirmés » et une mention d’encouragement. Depuis le lancement de cette opération en 2006, 231 « Talents de l’Outre-mer » ont été primés. Cette cérémonie consiste à mettre en valeur et à récompenser de jeunes talents émergents et confirmés, qu'ils soient étudiants ou en situation professionnelle et qui ont embrassé des filières hautement sélectives ou eu un parcours professionnel atypique.
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