Tous les élus du Congrès ont donné leur accord ce 19 mai.
Un vote qui marque la volonté de la Calédonie de s’inscrire aux cotés du reste du monde dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Un vote qui marque la volonté de la Calédonie de s’inscrire aux cotés du reste du monde dans la lutte contre le réchauffement climatique.
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Pour rappel, cet Accord de Paris du 12 décembre 2015 a été le point d’orgue de la Cop 21.
La Nouvelle-Calédonie a rappelé ce matin son volontarisme en matière de lutte contre l’effet de serre, elle qui est à l’initiative du Sommet Oceania 22 qui s’est tenu à Bourail le 13 avril 2016, pour porter l’engagement de 16 états et territoires d’Océanie en faveur d’une entrée en vigueur rapide de l’Accord de Paris.
Reste que la Calédonie est dans une position très spécifique en matière de réchauffement climatique : 3 usines métallurgiques qui utilisent le charbon comme combustible, et qui fait de notre caillou le cinquième émetteur de gaz à effet de serre par habitant.
Les élus ont toutefois émis une réserve ce matin à leur engagement, demandant que la Nouvelle-Calédonie puisse définir elle-même son niveau de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre eu égard à ses propres perspectives de développement et compte tenu également de l’autonomie très large dont elle bénéficie aujourd’hui.
Une ratification qui relance l’impérative nécessité d’adopter le schéma pour la transition énergétique actuellement en cours d’examen.
Le congrès a sollicité aussi ce matin l’Etat pour qu’il mette tout en œuvre afin que la Nouvelle-Calédonie devienne éligible au fonds vert pour le climat, la manne financière internationale de 100 milliards de dollars par an.
Pour lire le texte de l'Accord de Paris, c'est ici
La Nouvelle-Calédonie a rappelé ce matin son volontarisme en matière de lutte contre l’effet de serre, elle qui est à l’initiative du Sommet Oceania 22 qui s’est tenu à Bourail le 13 avril 2016, pour porter l’engagement de 16 états et territoires d’Océanie en faveur d’une entrée en vigueur rapide de l’Accord de Paris.
Reste que la Calédonie est dans une position très spécifique en matière de réchauffement climatique : 3 usines métallurgiques qui utilisent le charbon comme combustible, et qui fait de notre caillou le cinquième émetteur de gaz à effet de serre par habitant.
Les élus ont toutefois émis une réserve ce matin à leur engagement, demandant que la Nouvelle-Calédonie puisse définir elle-même son niveau de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre eu égard à ses propres perspectives de développement et compte tenu également de l’autonomie très large dont elle bénéficie aujourd’hui.
Une ratification qui relance l’impérative nécessité d’adopter le schéma pour la transition énergétique actuellement en cours d’examen.
Le congrès a sollicité aussi ce matin l’Etat pour qu’il mette tout en œuvre afin que la Nouvelle-Calédonie devienne éligible au fonds vert pour le climat, la manne financière internationale de 100 milliards de dollars par an.
Pour lire le texte de l'Accord de Paris, c'est ici