L’expertise en microbiologie du laboratoire Eurofins disculpe clairement l’entreprise Newrest. A ce jour, dit le communiqué, "aucune cause formelle n’a pu être établie : pas de bacillus Cereus sur les plats témoins, pas de présence de toxiques dans les régurgitations des enfants".
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Depuis le 1er octobre dernier, la société Newrest Restauration Française, à la demande des autorités, a du suspendre la fabrication et la livraison des repas pour les écoles de Nouméa et des trois autres communes de l’agglomération en raison de la multiplication depuis plusieurs semaines d’épisodes d’intoxications inexpliqués.
Appel à un laboratoire indépendant et les premières conclusions
La suite du communiqué indique que Newrest a décidé de faire appel au Laboratoire Eurofins et à son expert reconnu en microbiologie, le Docteur Gros Jean.
Les premières auditions ont eu lieu. Les enquêteurs collectent différentes analyses et des constatations ont été effectuées, mais tout cela prendra du temps. Et pour l’heure, aucune infraction pénale n’est caractérisée.
Les plateaux repas pointés du doigt
Dans un souci de transparence, dit le communiqué de l’entreprise, elle renforce donc tous les contrôles sur la chaîne de restauration scolaire, y compris sur les livraisons et le lavage des plateaux. Car ce sont bien les plateaux repas qui sont pointés du doigt par l’entreprise : ces derniers seraient poreux, source de contamination évidente, et lavés trop tard après le service de cantine.
Un système "obsolète et peu professionnel"
Pour finir, c’est tout le système de restauration scolaire qui serait, depuis des années, obsolète et peu professionnel, selon Newrest, qui lance un nouveau débat : faut-il réformer en profondeur le réseau « cantines » ? En filigrane, les municipalités de Nouméa, de Païta, et de Dumbéa ne devraient-elles pas aussi se remettre en question.
Appel à un laboratoire indépendant et les premières conclusions
La suite du communiqué indique que Newrest a décidé de faire appel au Laboratoire Eurofins et à son expert reconnu en microbiologie, le Docteur Gros Jean.
Dans le communiqué du restaurateur scolaire, Newrest, la direction évoque la piste de contamination intentionnelle. D’ailleurs, Le procureur nous a confirmé que toutes les plaintes avaient été regroupées et transmises au commissariat central de Nouméa.Les premières conclusions auxquelles ils sont parvenus : à ce jour, aucune cause formelle n’a pu être établie. Cependant deux causes potentielles ont été retenues de manière consensuelle par l’ensemble des acteurs .
Les premières auditions ont eu lieu. Les enquêteurs collectent différentes analyses et des constatations ont été effectuées, mais tout cela prendra du temps. Et pour l’heure, aucune infraction pénale n’est caractérisée.
Les plateaux repas pointés du doigt
Dans un souci de transparence, dit le communiqué de l’entreprise, elle renforce donc tous les contrôles sur la chaîne de restauration scolaire, y compris sur les livraisons et le lavage des plateaux. Car ce sont bien les plateaux repas qui sont pointés du doigt par l’entreprise : ces derniers seraient poreux, source de contamination évidente, et lavés trop tard après le service de cantine.
Un système "obsolète et peu professionnel"
Pour finir, c’est tout le système de restauration scolaire qui serait, depuis des années, obsolète et peu professionnel, selon Newrest, qui lance un nouveau débat : faut-il réformer en profondeur le réseau « cantines » ? En filigrane, les municipalités de Nouméa, de Païta, et de Dumbéa ne devraient-elles pas aussi se remettre en question.