Ce matin avaient lieu les discussions pour établir le budget primitif 2020 de la province des Îles. 19 milliards 367 millions ont été votés, soit une augmentation de 5% par rapport à l’an dernier.
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Parmi les grands chantiers, la mobilité et l’aménagement du territoire obtiennent plus d’un milliard et 500 millions de francs CFP. Ces fonds serviront notamment à l’extension et à la sûreté des aérogares d’Ouvéa, comme la reconstruction du port de Lekine ou encore l’aménagement de la zone portuaire de Tadine.
« Un budget primitif de 19 milliards 367 millions, une augmentation par rapport à 2016 : nous consignerons à avoir des partenaires financiers, à avoir des recettes nouvelles. C’est pour cela qu’au mois de mars, nous aurons une décision modificative pour ajuster et ré-ajuster par rapport à nos recettes nouvelles » explique Isabelle Bearune, chef de groupe de l'UC.
Le Parti Travailliste, Dynamique Autochtone et l’Union Calédonienne : tous ont voté pour, comme le membre du Palika, Robert Kapoeri alors que son groupe c’est lui abstenu.
« L’équilibre du budget a été fondé sur des recettes qui pour nous restent improbables. Les dépenses dites incompressibles ont augmenté de l’ordre de 7% et c’est pareil pour la masse salariale qui a atteint aujourd’hui le seuil critique de 38% » confie Charles Washetine, chef de groupe du Palika.
Autre grand chantier : la diminution des dépenses de santé. L’exécutif provincial veut réduire le nombre de bénéficiaires de l’aide médicale. Durant les débats, le Palika a dénoncé le manque de contradictions.
Le reportage de Dave Waheo-Hnasson et Philippe Kuntzmann
« Un budget primitif de 19 milliards 367 millions, une augmentation par rapport à 2016 : nous consignerons à avoir des partenaires financiers, à avoir des recettes nouvelles. C’est pour cela qu’au mois de mars, nous aurons une décision modificative pour ajuster et ré-ajuster par rapport à nos recettes nouvelles » explique Isabelle Bearune, chef de groupe de l'UC.
Le Parti Travailliste, Dynamique Autochtone et l’Union Calédonienne : tous ont voté pour, comme le membre du Palika, Robert Kapoeri alors que son groupe c’est lui abstenu.
« L’équilibre du budget a été fondé sur des recettes qui pour nous restent improbables. Les dépenses dites incompressibles ont augmenté de l’ordre de 7% et c’est pareil pour la masse salariale qui a atteint aujourd’hui le seuil critique de 38% » confie Charles Washetine, chef de groupe du Palika.
Autre grand chantier : la diminution des dépenses de santé. L’exécutif provincial veut réduire le nombre de bénéficiaires de l’aide médicale. Durant les débats, le Palika a dénoncé le manque de contradictions.
Le reportage de Dave Waheo-Hnasson et Philippe Kuntzmann