L’homme a été mordu au mollet alors qu’il se trouvait à une quarantaine de kilomètres des côtes dans un coin très prisé des pêcheurs, le grand récif Cook.
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Ce mercredi après-midi, entre 15 et 16 heures, un pêcheur d’holoturies a été mortellement agressé par un squale alors qu’il pêchait dans moins d'un mètre d'eau avec trois autres personnes sur le grand récif Cook à l’Est de Bélep. La victime, qui habitait le village de Waala, chef lieu administratif des Bélep, se serait fait mordre par surprise alors qu'elle était très éloignée du bateau. Ses compagnons de pêche, qui n'ont pas réalisé immédiatement qu'un accident dramatique venait de se produire, ont alors tenté de lui porter secours mais le malheureux avait déjà perdu trop de sang.
Il y a environ deux ans, un autre pêcheur avait fait les frais de ce même type d’attaque, cette fois par un petit requin, sur ce grand récif de la côte Est. Une sorte de fausse passe de faible profondeur bien connue des pêcheurs.
Les commentaires de Jean-Baptiste Moilou, maire de Bélep, qui confirme que l'accident a eu lieu dans une zone réputée dangereuse :
Ce drame survient seulement cinq jours après l'attaque du petit Anthony par un requin bouledogue dans la marina de Port du Sud, baie de l'Orphelinat à Nouméa.
Le récit d'Angela Palmieri
Mortellement blessé au niveau du mollet
Selon l'un des témoins, le requin (manifestement de grande taille au vu de la morsure) aurait attaqué la victime par derrière, le blessant de la cheville au genoux.
La deuxième attaque sur ce spot
Il y a environ deux ans, un autre pêcheur avait fait les frais de ce même type d’attaque, cette fois par un petit requin, sur ce grand récif de la côte Est. Une sorte de fausse passe de faible profondeur bien connue des pêcheurs.
Les commentaires de Jean-Baptiste Moilou, maire de Bélep, qui confirme que l'accident a eu lieu dans une zone réputée dangereuse :
Ce drame survient seulement cinq jours après l'attaque du petit Anthony par un requin bouledogue dans la marina de Port du Sud, baie de l'Orphelinat à Nouméa.
Le récit d'Angela Palmieri