La Bureau Vallée Dream cup, c'est fini. La dernière journée du mondial de windsurf a livré son verdict. Pierre Mortefon s'adjuge l'épreuve de Nouméa, et son premier titre de champion du monde. Marion Mortefon, sa sœur, gagne l'étape calédonienne mais le titre va à Delphine Cousin.
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Le suspense a duré jusqu’à la tout dernière manche de compétition, samedi, dans la Bureau Vallée Dream cup. Chez les hommes, Pierre Mortefon s’impose sur cette dernière étape du circuit à Nouméa. Il a décroché sa victoire dans l’ultime finale, en battant l’Italien Matteo Iachino avec lequel il a bataillé toute la semaine.
Le récit de Pierre Mortefon au micro de William Lecren :
Compte-rendu d'Erik Dufour et Christian Favennec :
Le reportage d'Erik Dufour et Christian Favennec :
Enfin devant Albeau
Pierre Mortefon vainqueur à Nouméa, et champion du monde pour la première fois. Cela faisait cinq ans que le Français courait après ce succès, toujours devancé par son rival Antoine Albeau, 25 fois champion du monde de la discipline, et troisième de l’épreuve de Nouméa. Il retiendra «une journée de folie».Le récit de Pierre Mortefon au micro de William Lecren :
Mondial de Windsurf, Pierre Mortefon
L'étape à Marion Mortefon, le titre à Delphine Cousin
Chez les dames, Marion Mortefon s’adjuge l’étape nouméenne, mais le titre mondial revient à sa rivale et amie Delphine Cousin. Les deux rideuses se sont elles aussi affrontées toute la semaine, offrant un beau spectacle au public un peu timide sur l’événement.Compte-rendu d'Erik Dufour et Christian Favennec :
Succès sportif
La Nouméa cup new look s'avère un véritable succès sur le plan sportif, avec un plan d’eau technique et tout proche des spectateurs. L’Anse-Vata en serait presque oubliée, même si le public y était beaucoup plus nombreux.Une étape vue de drone
Et pour suivre la compétition dans les meilleures conditions, sur le site de la Côte Blanche ou en direct sur Facebook, une entreprise locale a déployé des moyens importants, filmant l'épreuve depuis un drone et des caméras à terre. Un vrai plus pour le speaker, et pour le public qui a pu profiter d'un écran géant.Le reportage d'Erik Dufour et Christian Favennec :