Recharger la batterie de son téléphone portable en pédalant : c’est le nouveau service gratuit que propose l’aéroport de Tontouta. Ce dispositif de rechargement, sportif et écologique, est le premier du genre en Calédonie
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Une étrange machine, composée de 3 vélos d’appartements et d’un bureau, est installée dans le hall de l’aéroport de Tontouta, à proximité des comptoirs d’enregistrement.
Elle permet de recharger téléphone, ordinateur ou tablette à la seule force des mollets. Le principe est simple : une fois installé, il suffit de brancher son appareil sur la prise électrique et de pédaler afin de produire de l’énergie jusqu’à 220 volts, grâce au générateur.
Elisa, naïade, y voit, elle, un intérêt concret. « Je me muscle les jambes avant ma compétition de natation synchronisée au prochain Océania 2016 ».
« On espère qu’ils seront conquis par cette manière originale de produire sa propre électricité » souligne Nathalie Kurek, chargée de communication chez Enercal .
Elle permet de recharger téléphone, ordinateur ou tablette à la seule force des mollets. Le principe est simple : une fois installé, il suffit de brancher son appareil sur la prise électrique et de pédaler afin de produire de l’énergie jusqu’à 220 volts, grâce au générateur.
L'essayer c'est l'adopter
voyageurs sont emballés : « C’est très bien, ça permet de passer le temps. Au lieu de traîner dans la salle d’attente, on fait un peu de sport » rapporte un passager en partance pour Wallis.Elisa, naïade, y voit, elle, un intérêt concret. « Je me muscle les jambes avant ma compétition de natation synchronisée au prochain Océania 2016 ».
Un bon dépannag
e niveau des capacités, le temps de recharge en pédalant est équivalent à celui d’un chargeur électrique ordinaire. En moyenne, pédaler 10 minutes à une allure tranquille permet de recharger 10 à 15% de la batterie. Un dépannage utile et écolo qui vise aussi à sensibiliser les utilisateurs à la maîtrise de l’énergie.« On espère qu’ils seront conquis par cette manière originale de produire sa propre électricité » souligne Nathalie Kurek, chargée de communication chez Enercal .