Regroupés sous le nom « Les loyalistes », plusieurs mouvements non indépendantistes lancent officiellement la campagne pour le non à la pleine souveraineté. Sur le terrain, des ambassadeurs prendront le relais pour convaincre les abstentionnistes d’aller voter.
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Pour ce deuxième référendum, L’Avenir en confiance, Générations NC, Tous Calédoniens et le Rassemblement national ont décidé de parler d’une seule voix. Ils se sont choisis un nom, « Les loyalistes », et un slogan avec un jeu de mots « Mon non est Nouvelle-Calédonie ».
Au premier rang pour battre la campagne, 8 ambassadeurs, dont certains de la société civile. Ils seront chargés de faire du porte-à-porte, de convaincre les électeurs et d’aller chercher les abstentionnistes. Tous sont Calédoniens, fiers de l’être et prêts à se mobiliser pour rester dans la France, avec des motivations différentes.
« Voter non, pour moi, c’est la paix, celle qui a été signée auparavant et pour les générations futures », témoigne une ambassadrice qui salue « la diversité qui compose la Nouvelle-Calédonie ». « C’est très important qu’on puisse tous s’exprimer, revendiquer nos cultures dans la paix et la sérénité de la France. »
Les ambassadeurs loyalistes seront évidemment épaulés par les ténors des partis. Les têtes d’affiches étaient présentes cet après midi mais sont restées au second plan. La campagne référendaire de ce mouvement veut jouer la proximité, pas question pour les élus de la confisquer.
Avec cette stratégie, il s’agit de faire reculer l’abstention, qui était d'un peu moins de 20 % au 1er référendum, et donc de mobiliser davantage. Prochain rendez-vous : un déjeuner républicain le 19 Juillet.
Le reportage d'Isabelle Braouet et Carawiane Carawiane
Au premier rang pour battre la campagne, 8 ambassadeurs, dont certains de la société civile. Ils seront chargés de faire du porte-à-porte, de convaincre les électeurs et d’aller chercher les abstentionnistes. Tous sont Calédoniens, fiers de l’être et prêts à se mobiliser pour rester dans la France, avec des motivations différentes.
« Voter non, pour moi, c’est la paix, celle qui a été signée auparavant et pour les générations futures », témoigne une ambassadrice qui salue « la diversité qui compose la Nouvelle-Calédonie ». « C’est très important qu’on puisse tous s’exprimer, revendiquer nos cultures dans la paix et la sérénité de la France. »
Les caciques des partis en arrière-plan
Un autre militant, ambassadeur lui aussi, se felicite de « la diversité, du métissage, de la chaleur de cette population calédonienne, tout ça incite à ce que ce Caillou, qui représente un petit peu la France dans le Pacifique continue à être Français ».Les ambassadeurs loyalistes seront évidemment épaulés par les ténors des partis. Les têtes d’affiches étaient présentes cet après midi mais sont restées au second plan. La campagne référendaire de ce mouvement veut jouer la proximité, pas question pour les élus de la confisquer.
Avec cette stratégie, il s’agit de faire reculer l’abstention, qui était d'un peu moins de 20 % au 1er référendum, et donc de mobiliser davantage. Prochain rendez-vous : un déjeuner républicain le 19 Juillet.
Le reportage d'Isabelle Braouet et Carawiane Carawiane