Ce vendredi 20 novembre marque la journée internationale des droits des enfants, une convention internationale de 54 articles adoptée par l'ONU et comprenant le droit à la vie, à la santé, à l'éducation et le droit de jouer, ainsi que le droit à une vie de famille et à être protégé de la violence.
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Ce vendredi 20 novembre marque la journée internationale des Droits des enfants, une convention internationale ratifiée en 1989 par l'ONU (Organisation des Nations Unies) et signée par 195 Etats. Elle contient 54 articles pour donner une base aux droits et au bien-être des enfants du monde entier, parmi lesquels le droit à la vie, à la santé, à l'éducation et le droit de jouer, ainsi que le droit à une vie de famille, à être protégé de la violence et de la discrimination, et de faire entendre sa voix.
Une journée pour se rendre compte des nombreuses injustices encore perpétrées dans le monde contre les enfants.
L'UNICEF indique dans un rapport indique que plus d'un milliard d'enfants sur Terre "souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida".
En 2015, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable…
Des coups à l'inceste, les violences intra-familiales sur les enfants sont très nombreuses, même si cela reste encore un sujet tabou, sur fond de "mythe de l'enfant-roi" en Polynésie.
Chaque année en moyenne, 2.000 enfants sont placés sous des mesures de protection par les affaires sociales.
En 2016, 227 mineurs étaient suivis par l'APAJ-Te Rama Ora (Association de Protection et d'Aide aux Victimes). La moitié pour des abus sexuels.
Une journée pour se rendre compte des nombreuses injustices encore perpétrées dans le monde contre les enfants.
L'UNICEF indique dans un rapport indique que plus d'un milliard d'enfants sur Terre "souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida".
En 2015, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable…
Des coups à l'inceste, les violences intra-familiales sur les enfants sont très nombreuses, même si cela reste encore un sujet tabou, sur fond de "mythe de l'enfant-roi" en Polynésie.
Chaque année en moyenne, 2.000 enfants sont placés sous des mesures de protection par les affaires sociales.
En 2016, 227 mineurs étaient suivis par l'APAJ-Te Rama Ora (Association de Protection et d'Aide aux Victimes). La moitié pour des abus sexuels.