Louis Wane, le patron de la SAS SEGC (Carrefour), a été mis en examen pour faits de corruption active présumée et placé sous contrôle judiciaire. Un mois plus tard, ce contrôle jucidicaire a été levé.
Louis Wane président de la SAS S.E.G.C a été mis en examen pour faits de corruption active présumée et placé sous contrôle judiciaire le 21 décembre 2012. Selon son avocat, ce contrôle judiciaire a été levé un mois plus tard.
Il était soupçonné d'avoir versé d’importantes sommes d'argent à l’ex leader de la CSIP, Cyril Le Gayic, lequel avait évoqué des prêts à titre personnel.
Dans cette même affaire, les juges d’instruction ont réuni les cinq protagonistes du dossier afin de confronter leurs versions des faits. A cet effet, l’homme d’affaires Bill Ravel, l’ex-leader de la CSIP Cyril Legayic et Gaston Tetuanui, le bras droit de Bill Ravel, ont été sortis de Nuutania où ils étaient placés en détention provisoire. Les comptables Kim Than Trung et Carole Toofa, tous deux placés sous contrôle judiciaire, étaient également présents à cette rencontre.
A l'issue de cette confrontation l’avocat de Bill Ravel a aussitôt estimé que le maintien en détention provisoire de son client n’avait plus lieu d’être.
Rappelons que les personnes mises en examen sont réputées innocentes tant qu'elles n'ont pas été définitivement condamnées par un tribunal.
Il était soupçonné d'avoir versé d’importantes sommes d'argent à l’ex leader de la CSIP, Cyril Le Gayic, lequel avait évoqué des prêts à titre personnel.
Dans cette même affaire, les juges d’instruction ont réuni les cinq protagonistes du dossier afin de confronter leurs versions des faits. A cet effet, l’homme d’affaires Bill Ravel, l’ex-leader de la CSIP Cyril Legayic et Gaston Tetuanui, le bras droit de Bill Ravel, ont été sortis de Nuutania où ils étaient placés en détention provisoire. Les comptables Kim Than Trung et Carole Toofa, tous deux placés sous contrôle judiciaire, étaient également présents à cette rencontre.
A l'issue de cette confrontation l’avocat de Bill Ravel a aussitôt estimé que le maintien en détention provisoire de son client n’avait plus lieu d’être.
Rappelons que les personnes mises en examen sont réputées innocentes tant qu'elles n'ont pas été définitivement condamnées par un tribunal.
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