En salade, en beignet ou sautés avec des légumes, les 'ina'a (petits alevins) sont très appréciés des polynésiens. Les vendeurs se font rares car la pêche aux 'ina'a nécessite un savoir-faire. Rencontre avec un vendeuse de Paea.
Deux bols de café bien remplis, soit plus d'un kilo de 'ina'a : c'est la dose servie par Rose dans ses paquets vendus à 1000 francs CP. Le ballet des clients commence dès 7 heures du matin, lorsqu'elle suspend ses sachets transparents sur son présentoir au bord de route.
Rose a l'habitude d'aller pécher en mer, notamment les ature. Mais entre juin et novembre lorsque c'est la saison, elle ressort son filet à alevins et son épuisette. Lorsque la session de pêche est exceptionnelle, elle peut ramener près de 70 kilos de 'ina'a.
Maruki Dury est allé rencontrer Rose devant le quartier Orofero à Paea, où sa famille et elle vendent leurs 'ina'a.
La version en tahitien :
Rose a l'habitude d'aller pécher en mer, notamment les ature. Mais entre juin et novembre lorsque c'est la saison, elle ressort son filet à alevins et son épuisette. Lorsque la session de pêche est exceptionnelle, elle peut ramener près de 70 kilos de 'ina'a.
Maruki Dury est allé rencontrer Rose devant le quartier Orofero à Paea, où sa famille et elle vendent leurs 'ina'a.
Enrobé 'ina'a en français
La version en tahitien :
Enrobé 'ina'a en tahitien