La Cour des comptes à Paris pointe du doigt la fiscalité du Pays. Les sages estiment qu’en Polynésie française, Il y a trop de taxes, mais pas assez d’impôts.
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Il faut augmenter les impôts dans les collectivités d’outre-mer, voilà la préconisation de la Cour des comptes, à Paris. Cette dernière pointe du doigt la fiscalité de Polynésie française, mais également celle de la plupart des collectivités d’Outre-mer : la Nouvelle Calédonie, Wallis et Futuna, Saint Pierre et Miquelon, et même Saint Barth et Saint Martin, aux Antilles.
A chaque fois le constat est le même : malgré quelques disparités un taux de prélèvement obligatoire plus faible que dans l'hexagone. En clair, on y paie moins d'impôts, notamment sur le revenu ou le patrimoine. Quand un contribuable hexagonal est soumis à un prélèvement obligatoire de 45%, il n'est que de 36 % en Polynésie, et 31% en Nouvelle-Calédonie. En cause, une économie basée sur des impôts indirects, autrement dit les taxes et de nombreuses dérogations. Selon les sages de la rue Cambon, ces taxes sont insuffisantes pour répondre à la dépense publique, du coup ces territoires restent très dépendants de l'Etat.
Pour y remédier, la Cour des Comptes propose deux solutions : augmenter les impôts et réduire les dépenses, recommandations laissées sans suite pour l'instant.
A chaque fois le constat est le même : malgré quelques disparités un taux de prélèvement obligatoire plus faible que dans l'hexagone. En clair, on y paie moins d'impôts, notamment sur le revenu ou le patrimoine. Quand un contribuable hexagonal est soumis à un prélèvement obligatoire de 45%, il n'est que de 36 % en Polynésie, et 31% en Nouvelle-Calédonie. En cause, une économie basée sur des impôts indirects, autrement dit les taxes et de nombreuses dérogations. Selon les sages de la rue Cambon, ces taxes sont insuffisantes pour répondre à la dépense publique, du coup ces territoires restent très dépendants de l'Etat.
Pour y remédier, la Cour des Comptes propose deux solutions : augmenter les impôts et réduire les dépenses, recommandations laissées sans suite pour l'instant.