Un groupe immobilier chinois a fait l'acquisition d'une bourgade fantôme située au nord de Vancouver, sur la côte pacifique canadienne, espérant la transformer en domaine privé pour nantis
Le groupe immobilier China Zhong Ya Group Hebei Canada-China Co. a officiellement acheté le 29 décembre l'ancienne cité minière de Bradian pour environ un million de dollars canadiens (710 millions d'euros ou 850 millions de dollars américains), selon un communiqué de l'agent immobilier ayant mené la transaction.
Située à quatre heures de route de Vancouver, et deux de la station de ski de Whistler, cette cité fantôme compte 22 bâtiments sur 20 hectares.
Fondée à 1.100 mètre d'altitude lors de la ruée vers l'or dans les années 1930, elle s'est vidée de sa population après la fermeture de sa mine en 1971.
Le groupe chinois "nous a dit qu'il avait l'intention de réhabiliter la ville mais je crois que (ses dirigeants) sont prêts à prendre leur temps pour d'abord tout planifier", a indiqué Hohn Lovelace, agent immobilier chargé de vendre cette ville fantôme, sur le marché depuis 2010.
Les nouveaux propriétaires de la ville "ont l'intention de la reconstruire", à commencer par les égouts, le système de distribution d'eau et les rues, a déclaré aux médias locaux un de leurs représentants, Michael Mills.
Depuis la rétrocession de Hong Kong à la Chine en 1997, la province de Colombie-Britannique a vu débarquer quantités de riches Asiatiques qui y investissent des sommes considérables dans l'immobilier, en particulier à Vancouver, entraînant un mouvement de spéculation record au Canada.
"Cette nouvelle vague d'acheteurs (asiatiques) est bien plus raffinée" que leurs prédécesseurs qui avaient placé leurs capitaux dans le marché immobilier de Vancouver et sa banlieue, a observé John Lovelace. "Ils cherchent maintenant des propriétés partout en Colombie-Britannique, comme des fermes, des ranches, des entreprises, et dans ce cas précis, une ville entière", a ajouté l'agent immobilier.
Source : AFP
Située à quatre heures de route de Vancouver, et deux de la station de ski de Whistler, cette cité fantôme compte 22 bâtiments sur 20 hectares.
Fondée à 1.100 mètre d'altitude lors de la ruée vers l'or dans les années 1930, elle s'est vidée de sa population après la fermeture de sa mine en 1971.
Le groupe chinois "nous a dit qu'il avait l'intention de réhabiliter la ville mais je crois que (ses dirigeants) sont prêts à prendre leur temps pour d'abord tout planifier", a indiqué Hohn Lovelace, agent immobilier chargé de vendre cette ville fantôme, sur le marché depuis 2010.
Les nouveaux propriétaires de la ville "ont l'intention de la reconstruire", à commencer par les égouts, le système de distribution d'eau et les rues, a déclaré aux médias locaux un de leurs représentants, Michael Mills.
Depuis la rétrocession de Hong Kong à la Chine en 1997, la province de Colombie-Britannique a vu débarquer quantités de riches Asiatiques qui y investissent des sommes considérables dans l'immobilier, en particulier à Vancouver, entraînant un mouvement de spéculation record au Canada.
"Cette nouvelle vague d'acheteurs (asiatiques) est bien plus raffinée" que leurs prédécesseurs qui avaient placé leurs capitaux dans le marché immobilier de Vancouver et sa banlieue, a observé John Lovelace. "Ils cherchent maintenant des propriétés partout en Colombie-Britannique, comme des fermes, des ranches, des entreprises, et dans ce cas précis, une ville entière", a ajouté l'agent immobilier.
Source : AFP
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