Les policiers ont écouté et entendu en direct la prise d'otages d'Amedy Coulibaly dans une épicerie casher, vendredi porte de Vincennes à Paris, grâce à un téléphone qu'il avait apparemment mal raccroché, a-t-on appris de source proche de l'enquête
Le preneur d'otages avait appelé un proche et a mal raccroché un téléphone qu'il avait utilisé dans l'épicerie, a dit cette source. Cela a permis aux policiers, même "indistinctement ou de manière décousue" mais en direct, "de savoir ce qui pouvait se passer".
Ils ont décidé de l'assaut en profitant d'un apparent relâchement du preneur d'otages - selon ce qu'ils entendaient - afin d'intervenir, a affirmé cette même source.
Cinq personnes ont été tuées à l'issue de cette prise d'otages, dont son auteur, Amedy Coulibaly, tué par les forces de l'ordre, selon des sources policières.
Outre Coulibaly, les quatre morts sont des otages, dont au moins trois ont été tués lors d'une fusillade survenue au début de la prise d'otages en milieu de journée, selon des sources proches du dossier.
Les investigations se poursuivaient vendredi soir afin de déterminer si le preneur d'otages a agi seul.
Sept personnes, dont trois policiers, ont par ailleurs été blessées.
Source : AFP
Ils ont décidé de l'assaut en profitant d'un apparent relâchement du preneur d'otages - selon ce qu'ils entendaient - afin d'intervenir, a affirmé cette même source.
Cinq personnes ont été tuées à l'issue de cette prise d'otages, dont son auteur, Amedy Coulibaly, tué par les forces de l'ordre, selon des sources policières.
Outre Coulibaly, les quatre morts sont des otages, dont au moins trois ont été tués lors d'une fusillade survenue au début de la prise d'otages en milieu de journée, selon des sources proches du dossier.
Les investigations se poursuivaient vendredi soir afin de déterminer si le preneur d'otages a agi seul.
Sept personnes, dont trois policiers, ont par ailleurs été blessées.
Source : AFP