La destination Fidji a encore connu, au terme de l’année 2014, un niveau jamais atteint depuis des années, avec un volume annoncé à 692.630 visiteurs pour l’année qui vient de s’achever, ont annoncé en fin de semaine les autorités
Selon ces sources officielles (bureau gouvernemental de la statistique, Fiji Bureau of Statistics), ce chiffre représente une augmentation de 2,6 % par rapport au précédent record de ces dernières années (675. 050 en 2011) et de 5,3 % par rapport à l’année précédente (657.706 en 2013).
Les grands marchés émetteurs demeurent les voisins que sont l’Australie (349.217 pour 2013) et la Nouvelle-Zélande (123.968 pour 2013), avec aussi de fortes augmentations à partir de la Chine et plus généralement de l’Asie (Corée).
Les autres visiteurs de cet archipel sont aussi, traditionnellement, venus d’Amérique du Nord et d’Europe.
Selon Tourism Fiji, organisme qui coordonne ce secteur dans l’archipel, les dernières actions en matière de promotion et de connexion aux marchés régionaux proches (Australie et Nouvelle-Zélande) ont contribué, ces derniers mois, à donner un coup de pouce au volume de fréquentation, avec notamment la mise en place de liaisons aériennes directes entre Nadi et Wellington (en plus des vols existants sur Auckland) et, de manière similaire, entre la capitale Suva et Melbourne (en plus de Sydney).
Pour 2015, l’objectif affiché est de l’ordre de 715.000 visiteurs, ce qui représenterait une augmentation modeste aux environs des cinq pour cent.
À plus long terme, le secteur du tourisme à Fidji espère, à l’horizon 2020, faire du tourisme et de ses activités connexes une source capable d’engranger chaque année des revenus de l’ordre des deux milliards de dollars (locaux, soit environ 880 millions d’euros, soit le double du chiffre d’affaires actuel), a lâché fin décembre 2014 le ministre de tutelle, Faiyaz Koya, alors qu’il présidait une cérémonie de lancement d’un nouveau guide touristique en Mandarin conçu spécialement pour les touristes chinois. « C’est le premier guide en Mandarin dans l’histoire de Fidji, c’est aussi un pan crucial de notre stratégie en vue de booster le volume d’arrivée des Chinois », a-t-il souligné.
À l’avenir, nous encouragerons aussi Tourism Fiji à développer des guides similaires, dans d’autres langues stratégiques », a-t-il ajouté.
Selon une récente étude publiée au nouvel An par la revue professionnelle nord-américaine Fly.com, Fidji se place à la cinquième place (mais première concernant les destinations insulaires océaniennes) dans un sondage recensant les 10 destinations les plus « désirées » au monde.
La première place, dans ce sondage, est revenue à l’Australie, puis viennent l’Italie et la Nouvelle-Zélande.
La Nouvelle-Zélande a par ailleurs remporté début décembre 2014, pour la troisième année consécutive, la palme décernée par les lecteurs du quotidien britannique Daily Telegraph, en tant que « meilleur pays » destination touristique. Quant à un autre classement, celui qui concerne les destinations mondiales « les plus éthiques », il récompense quant à lui, dans son Top 10, quatre États océaniens : Samoa, Palau, Tonga et Vanuatu.
Dans ce Top 10, les autres pays distingués sont le Cap Vert, le Chili, la Dominique, la Lituanie et l’île Maurice.
Ce classement est établi en mettant en avant des critères tels que la protection de l’environnement, le respect des droits humains, ou encore les valeurs défendues par les opérateurs éco touristiques.
Source : http://newspad-pacific.info/
Les grands marchés émetteurs demeurent les voisins que sont l’Australie (349.217 pour 2013) et la Nouvelle-Zélande (123.968 pour 2013), avec aussi de fortes augmentations à partir de la Chine et plus généralement de l’Asie (Corée).
Les autres visiteurs de cet archipel sont aussi, traditionnellement, venus d’Amérique du Nord et d’Europe.
Selon Tourism Fiji, organisme qui coordonne ce secteur dans l’archipel, les dernières actions en matière de promotion et de connexion aux marchés régionaux proches (Australie et Nouvelle-Zélande) ont contribué, ces derniers mois, à donner un coup de pouce au volume de fréquentation, avec notamment la mise en place de liaisons aériennes directes entre Nadi et Wellington (en plus des vols existants sur Auckland) et, de manière similaire, entre la capitale Suva et Melbourne (en plus de Sydney).
Pour 2015, l’objectif affiché est de l’ordre de 715.000 visiteurs, ce qui représenterait une augmentation modeste aux environs des cinq pour cent.
À plus long terme, le secteur du tourisme à Fidji espère, à l’horizon 2020, faire du tourisme et de ses activités connexes une source capable d’engranger chaque année des revenus de l’ordre des deux milliards de dollars (locaux, soit environ 880 millions d’euros, soit le double du chiffre d’affaires actuel), a lâché fin décembre 2014 le ministre de tutelle, Faiyaz Koya, alors qu’il présidait une cérémonie de lancement d’un nouveau guide touristique en Mandarin conçu spécialement pour les touristes chinois. « C’est le premier guide en Mandarin dans l’histoire de Fidji, c’est aussi un pan crucial de notre stratégie en vue de booster le volume d’arrivée des Chinois », a-t-il souligné.
À l’avenir, nous encouragerons aussi Tourism Fiji à développer des guides similaires, dans d’autres langues stratégiques », a-t-il ajouté.
Selon une récente étude publiée au nouvel An par la revue professionnelle nord-américaine Fly.com, Fidji se place à la cinquième place (mais première concernant les destinations insulaires océaniennes) dans un sondage recensant les 10 destinations les plus « désirées » au monde.
La première place, dans ce sondage, est revenue à l’Australie, puis viennent l’Italie et la Nouvelle-Zélande.
La Nouvelle-Zélande a par ailleurs remporté début décembre 2014, pour la troisième année consécutive, la palme décernée par les lecteurs du quotidien britannique Daily Telegraph, en tant que « meilleur pays » destination touristique. Quant à un autre classement, celui qui concerne les destinations mondiales « les plus éthiques », il récompense quant à lui, dans son Top 10, quatre États océaniens : Samoa, Palau, Tonga et Vanuatu.
Dans ce Top 10, les autres pays distingués sont le Cap Vert, le Chili, la Dominique, la Lituanie et l’île Maurice.
Ce classement est établi en mettant en avant des critères tels que la protection de l’environnement, le respect des droits humains, ou encore les valeurs défendues par les opérateurs éco touristiques.
Source : http://newspad-pacific.info/